181 million en 2010

181 millions d’euro en 2010, c’est ce que rapporte la taxe sur la copie privée en 2009 ; cette taxe est justifiée par l’autorisation données (mais aussi contestée) aux particuliers à s’echanger des disques et dvd.

Posons nous la question de ce à quoi correspond cette taxe en terme d’équivalent nombre de CD vendus puisque seulement grosso-modo 1 euro correspond aux droits d’auteurs (de ce que j’ai pu lire à droite et à gauche et qu’il faudrait vérifier). Si nous parlons d’une moyenne de 3 cd par français et par an, n’est ca pas sur-évalué ?

Par ailleurs, ce jour, est annoncé que la taxe pourrait s’étendre aux consoles de jeux … domaine largement plus impacté que la musique et le cinéma par le phénomène de copie et qui ne profite pas lui-même de ce mécanisme de protection.

Ce système ne devrait-il pas être remis à plat ?

HADOPI allimenterait-t-elle indirectement des organisation mafieuses

Titre accrocheur, désolé, mais c’est ce qui me vient à l’idée de part les récentes statistiques sur l’utilisation des réseaux de P2P et de part l’article suivant : http://www.zataz.com/news/20372/warez–stro–hq-darkside.html

En effet, les premiers éléments montrent que le français se tournent, depuis l’annonce de HADOPI vers des solutions de type Streaming ou groupes de news pour ne pas être pris la prise ethernet dans la médiathèque … Hors il s’avère que ces nouveaux canaux d’échange ne sont plus du Pear 2 Pear, equitable est gratuit par essence mais son des serveurs centraux, détenant des copiés illicites dont l’accès est payant. Le paiement étant une nécessité pour entretenir le système, ne serait-ce que par les cout de cette infrastructure centralisée.

Dès lors qu’il y a argent, il y a forcément dégagement de bénéfices et donc profits. Comme l’activité est à la base illégale, ces bénéfices alimentent donc une économie soutéraine. Il serait donc utile de se poser la question de quelles type d’économie soutéraine nous parlons, comme les boutonneux de 14 ans qui précédemment gravaient des CD pour les vendre dans la cours d’école ont l’air hors jeux, il me semble plus opportun d’imaginer qu’il pourrait y avoir, derrière, des groupes à tendence mafieuse (même s’il est certain que dans certains pays, ceux-ci peuvent représenter des sociétés totalement honnêtes vis à vis de la législation locale)

Ces société profitent allègrement de la campagne de presse organisée autour d’HADOPI alors que la Haute Autorité n’est pas encore en place. Le système chasse un modèle illégal mais sans réel profit par un système illégal profitable pouvant allimenter des délis bien plus grave pour la société que la simple copie d’oeuvre ; je pense à différents traffic d’armes, drogues, femmes ….

Une enquête seraient intéressante pour savoir ce qu’il en est vraiment, si derrière le fantasme que je peux émettre, il existe une ou plusieures réalités.

Sujet du jour sur Internet Google et notre vie privée

Thème de ce jour google rappelé à l’ordre par la CNIL sur sa gestion des données personnelles. De là on trouve sur Internet de nombreux articles relatifs aux données stockées par Google et rapidement chacun fait le lien avec ses habitudes d’usage des services de Google. Seulement, il y a un point qui me semble oublié et qui relève d’une importance bien plus importante : les google gadgets et publicités

En effet, si Google pouvait se transformer en une énorme machine à tracer, ce serait bien par le biais, non pas de nos comptes enregistré sur leur serveurs mais sur l’ensemble des “sondes” qu’il peuvent avoir sur tous les site ouaib du monde entier. Si vous cumulez à la fois les gadget de type GoogleMap, la publicité GoogleAds et les site qui utilisent le suivi des stats Urchin, vous trouverez une couverture maximale de la toile.
Il est clair que Google n’est pas seul à posséder ces informations, Microsoft ou d’autres acteur de la pub en ligne ont de telles possibilité, seulement, leur emprunte est plus faible sur le web.
Si l’on cumule tous ces points d’entrées recus par google et que l’on s’en sert avec des outils d’analyse adapté, il est simple de tracer votre profil, identifier vos opinions, habitudes, dérives : simple de voir ce que vous cherchez, ce qui attire votre attention par le temps passé sur la page, les liens utilisés…. Tout est possible et imaginable, d’autant que vous pouvez cumuler ses informations avec vos email, vos photos, vos documents, des information de géolocalisation …

Comment s’en débarrasser ? quasiment impossible sans se déconnecter de la toile. Serte il y a des solutions techniques que je ne vais pas détaillées car un peu compliquées mais celles-ci sont tellement contraignantes qu’elles ne peuvent servir à la vie courante. Il ne faut en tout cas pas penser déconnexion sur la page de Google ou alors simple suppression de son compte google, il y a tant d’autres moyen d’avoir accès à votre identification de façon plus ou moins directe ; ne serait-ce que par l’adresse IP présente dans tous échanges et cookies ici utilisable en cross-site.

Comment cela fonctionne ? sur tous les sites utilisant un gadget google ou diffusant une publicité Google vous envoyez une requete directement de votre browser (chez vous) à un des serveurs de google. Par cet envoi, vous passez deux chose : d’une part votre identité au travers de votre IP et des cookies google accessibles et d’autre part l’url depuis laquelle vous faite cet appel : à soir la page consultée ; Ces informations peuvent alors être stoquées dans une base et analysés par la suite.

Quel usage de ces données ? Impossible de le savoir ; pour des actions marketing, c’est clair, mais pourquoi n’iraient-t-ils pas plus loin ? Pourquoi ces données ne pourraient-t-elles pas être exploitées aujourd’hui ou dans le futur par un gouvernement ou exploité par des pirates. Dans la chasse et l’identification de terroristes, pédophiles, ce peut être une arme très efficace ; de là à s’en servir pour d’autres la limite est fine.

Que faire alors ? et bien il n’y a que deux choix : avoir confiance en google est ses homologues, avoir confiance en votre gouvernement et le gouvernement Américain mais aussi se convaincre que l’on ne présente aucun intéret particulier pour ces gens. A part cela, il n’y a d’autres moyens que de se déconnecter.  Quels moyens de contournement autre que la deconnexion du réseau ? La première serait de faire du bruit, c’est à dire utiliser des plugins ou modules qui surfent à votre place de façon alétoire. Cette solution a deux problèmes : avoir un faux profilage peut être pire qu’un vrai et par ailleurs, il est tout à fait possible de détecter des activités de type robot pour les filtrer. La seconde solution, plus radicale, serait de filtrer toutes les IP de google, ce qui est faisable simplement, à condition d’en connaitre toutes les IP mais qui se traduit pas le fait de se couper de nombreux services bien utiles. La dernière solution serait d’utiliser un tiers de confiance, c’est à dire un proxy pour les adresses IP de google. Ce tiers de confiance donnerait son identité à la place de la votre aux services google et pourrait filtrer des cookies. Il ne s’agit toutefois que d’un report du problème puisque ce tiers auraient en sa possession toutes les informations de google. Pour ma part, j’avoue que cette solution me plait si elle est gérée par la CNIL, tant qu’a donner ma confiance autant que ce soit à eux.
Enfin, hier paraissait un article sur la possibilité donnée aux publicitaires ayant des affiches 4×3 de placer des cameras de surveillance permettant de constituer des données marketing telles que l’affluence au abord de la publicité. Ce qui se fait par défaut sur Internet ressemble à la même chose mais avec, en outre, la possibilité d’obtenir le nom de chaque personne voyant chaque affiche et le temps consacré à la regarder…

Google travesti en Big Brother ?

En effet, si Google pouvait se transformer en une énorme machine à tracer, ce serait bien par le biais, non pas de nos comptes enregistré sur leur serveurs mais sur l’ensemble des “sondes” qu’il peuvent avoir sur tous les site ouaib du monde entier. Si vous cumulez à la fois les gadget de type GoogleMap, la publicité GoogleAds et les site qui utilisent le suivi des stats Urchin, vous trouverez une couverture maximale de la toile.
Il est clair que Google n’est pas seul à posséder ces informations, Microsoft ou d’autres acteur de la pub en ligne ont de telles possibilité, seulement, leur emprunte est plus faible sur le web.
Si l’on cumule tous ces points d’entrées recus par google et que l’on s’en sert avec des outils d’analyse adapté, il est simple de tracer votre profil, identifier vos opinions, habitudes, dérives : simple de voir ce que vous cherchez, ce qui attire votre attention par le temps passé sur la page, les liens utilisés…. Tout est possible et imaginable, d’autant que vous pouvez cumuler ses informations avec vos email, vos photos, vos documents, des information de géolocalisation …

Comment s’en débarrasser ? quasiment impossible sans se déconnecter de la toile. Serte il y a des solutions techniques que je ne vais pas détaillées car un peu compliquées mais celles-ci sont tellement contraignantes qu’elles ne peuvent servir à la vie courante. Il ne faut en tout cas pas penser déconnexion sur la page de Google ou alors simple suppression de son compte google, il y a tant d’autres moyen d’avoir accès à votre identification de façon plus ou moins directe ; ne serait-ce que par l’adresse IP présente dans tous échanges et cookies ici utilisable en cross-site.

Comment cela fonctionne ? sur tous les sites utilisant un gadget google ou diffusant une publicité Google vous envoyez une requete directement de votre browser (chez vous) à un des serveurs de google. Par cet envoi, vous passez deux chose : d’une part votre identité au travers de votre IP et des cookies google accessibles et d’autre part l’url depuis laquelle vous faite cet appel : à soir la page consultée ; Ces informations peuvent alors être stoquées dans une base et analysés par la suite.

Quel usage de ces données ? Impossible de le savoir ; pour des actions marketing, c’est clair, mais pourquoi n’iraient-t-ils pas plus loin ? Pourquoi ces données ne pourraient-t-elles pas être exploitées aujourd’hui ou dans le futur par un gouvernement ou exploité par des pirates. Dans la chasse et l’identification de terroristes, pédophiles, ce peut être une arme très efficace ; de là à s’en servir pour d’autres la limite est fine.

Que faire alors ? et bien il n’y a que deux choix : avoir confiance en google est ses homologues, avoir confiance en votre gouvernement et le gouvernement Américain mais aussi se convaincre que l’on ne présente aucun intéret particulier pour ces gens. A part cela, il n’y a d’autres moyens que de se déconnecter.

Quels moyens de contournement autre que la deconnexion du réseau ? La première serait de faire du bruit, c’est à dire utiliser des plugins ou modules qui surfent à votre place de façon alétoire. Cette solution a deux problèmes : avoir un faux profilage peut être pire qu’un vrai et par ailleurs, il est tout à fait possible de détecter des activités de type robot pour les filtrer. La seconde solution, plus radicale, serait de filtrer toutes les IP de google, ce qui est faisable simplement, à condition d’en connaitre toutes les IP mais qui se traduit pas le fait de se couper de nombreux services bien utiles. La dernière solution serait d’utiliser un tiers de confiance, c’est à dire un proxy pour les adresses IP de google. Ce tiers de confiance donnerait son identité à la place de la votre aux services google et pourrait filtrer des cookies. Il ne s’agit toutefois que d’un report du problème puisque ce tiers auraient en sa possession toutes les informations de google. Pour ma part, j’avoue que cette solution me plait si elle est gérée par la CNIL, tant qu’a donner ma confiance autant que ce soit à eux.

Enfin, hier paraissait un article sur la possibilité donnée aux publicitaires ayant des affiches 4×3 de placer des cameras de surveillance permettant de constituer des données marketing telles que l’affluence au abord de la publicité. Ce qui se fait par défaut sur Internet ressemble à la même chose mais avec, en outre, la possibilité d’obtenir le nom de chaque personne voyant chaque affiche et le temps consacré à la regarder…

Le piège du 2efsck au demarrage des VM

L’histoire commence sur un retour de week-end où mon serveur de VM est en vrac, après un reboot la VM principale ne démarre plus restant bloquée sur une ligne sans signification particulière…
Qu’a cela ne tienne, virtualisation oblige, je peux repartir sur d’ancien backup de la VM et celle-ci repart mais demande quelques reconfiguration (backup un peu vieux) et à chaque reboot de ces VM … crash ! identique et tout autant mystérieux.
Il me faudra 24h et un certain nombre de réinstallation et reconfiguration de VM pour percer le mystère de tout cela : un simple disque demandant un e2fsck avec réparation (et demandant donc un login root en console). Comment ai-je pu manquer cela dans la console !!! et bien c’est très simple, maintenant la console texte n’affiche plus les messages important … il faut se référer à la console graphique accessible par VNC … mon dieu que le modernisme est déprimant !
Bon, deux choses que j’ai apprises hier : la console graphique Xen est accessible avec vncviewer sur l’IP 127.0.0.1 et le port 5900+N où N est l’ID de la VM (plus ou moins en fait). Ensuite, pour éviter d’un disque soit checké au démarrage du système (et donc mette la grouille comme ca) il suffit de mettre à 0 le dernier des digit qui est sur la ligne correspondante dans le fstab.
Note complémentaire d’explication : mes VM backupée démarraient tant que je n’avais pas recopié mon fichier fstab faisant état de ce disque corrompu à mounté. Et seconde note complémentaire, si le système a décidé qu’il y avait un système à checké alors que le périphérique est débranché… et bien il va demander aussi de se loggué en route pour reparrer ce disque qui n’existe pas !

Musique et jeux vidéo, deux poids, deux mesures

Les linker de DS obtiennent pour l’instant un non lieu dans le different qui les opposent à Nintendo. Ce jugement qui n’est certe que temporaire est interessant : en effet, les linkers sont des puces qui se branchent sur une console et permettent d’utiliser des jeux sans les avoir acheté. Il permettent aussi d’installer des applications non officielles échapant à la taxe de Nintendo sur les jeux pour cette console. Bref, le linker est pour une console de jeu l’outil permettan de passer outre les DRM et donc l’achat en magasin de jeux video.

Ce qui est interressant dans tout cela c’est de constater la clemence du tribunal face aux linkers par rapport à ce qu’il en est pour les site comme thepiratebay. Thepiratebay etant un site facilitant le piratage de musique fermé sur jugement d’un tribunal (non français). Site ne proposant par ailleurs aucun contenu illicite ; il peut être associé à un linker car il est un outil aidant au piratage sans pour autant qu’il s’agisse d’un produit contenant des éléments piratés (comme l’etait napster en quelque sorte).

Il faut par ailleurs voir celà dans le contexte de l’industrie du jeu vidéo qui ne cesse de souffrir depuis toujours du piratage, mettre en perspective le nombre de sociétés de ce domaines qui ont disparu ou menacent de disparaitre chaque année (atari, infogramme…) ; sociétés qui depuis toujours sont dans une perpetuelle lutte technique contre la piraterie et qui savent (ou sont contraintes de) faire évoluer leur modèles économiques pour survivre (emploi de DRM, jeux en lignes sur abonnement, modèle publicitaires …). Si l’on compare cette industrie à celle de la musique dont beaucoup de monde doute de la fébrilité et qui ne souhaite pas vraiment suivre les évolutions technologique et sociale, on se demande vraiment pourquoi il y a aussi peu de monde pour soutenir le jeu video et autant de monde pour pleurer les artistes …

Personnellement j’en conclus qu’il y a deux poids et deux mesures selon les secteurs et que notre société est controlé par des lobbies plus que par le bon sens ou le principe même d’égalité par ailleurs un bel exemple de valeur de l’identité nationnale.

Lorsque j’ai eu la mauvaise idée d’appeler Orange …

Cet appel me conduit à tomber sur une gentille opératrice commerciale qui ne manqua pas de me proposer l’option de la semaine, celle qui ne me sert à rien mais sur laquelle elle est objectivée. Je refuse donc en premier lieu sa proposition d’internet 3G dont je n’ai besoin pour finalement l’accepter après que celle-ci m’ait proposer de payer 3euros de moins par mois pour avoir un service supplémentaire. Plus pour moins cher, c’est toujours moins cher … Bref, me voila heureux possesseur d’une clef 3G début Octobre.
Le lendemain ma Télé (sur adsl) se coupe … appel au service client qui me confirme que mon abonnement TV a été résilié lors du choix 3G, ceci n’étant bien sur pas du tout convenu avec l’opératrice. Je me dis alors, pas de soucis, on réactive l’option et ça repars. Mais tout ceci est sans compter sur l’efficacité des services Orange qui m’ont dors et déjà envoyé un bon de retour pour mon décodeur TV et on aussi détruit mes droits de video à la demande (quelques 30euros dont plus personne n’a la trace nul part). L’histoire s’emmêle et si ma TV revient bien au bout d’une semaine, elle arrive en même temps qu’un second décodeur TV. Me voila donc avec 2 décodeurs et un bon de retour pour l’un deux, il n’y a rien à dire, chez Orange, on a les moyens et des clients qui n’ont que cela à faire que d’aller et venir à la poste pour récupérer ou retourner des colis. Finalement je téléphone au support et on me conseille (assez logiquement) de retourner le décodeur reçu pour ne pas démonter toute mon installation.
A ce moment, je pensais la situation résolue et Orange m’ayant dédommagé de plusieurs mois d’abonnements offert, l’incident étai clos. C’était sans compter sur la vigilance de leur processus qui ont sans doute constaté le retour d’un élément, mais pas de celui qui était demandé et début Novembre je reçois une mise en demeure pour leur retourner mon premier décodeur TV. Les huissiers ne sont pas loin, le RAR est de nouveau à se procurer à La Poste. Que faire ? retourner l’élément demandé ne me permettrait plus de recevoir la TV, service pour lequel je paye. Je contact encore la hotline offshore qui selon les personnes me conseille de ne rien faire (bravo), d’envoyer un courrier en RAR… Je demande que l’on me transmette un service compétent de type réclamation, je ne l’aurai jamais après 10 min d’attente supplémentaires on me raccrochera au nez (et personne ne reprendra contact avec moi alors que mon numéro leur était donné). Au final je choisi la lettre en RAR auprès du service réclamation, j’attends donc la suite à ce jour.
Toutefois, l’histoire ne serait pas totalement délirante si lorsque j’ai souhaité utilisé ma clef 3G, celle-ci n’avait pas été désactivée début Octobre, soit disant sur mon ordre, alors que je n’ai jamais formulé une telle demande et que dans tous les cas, je n’aurai pas souhaiter que ceci soit fait en conservant une offre Internet plus cher du fait de cette possibilité 3G. La hotline offshore n’y comprendra d’ailleurs rien, bien que je lui ai posé directement la question de savoir si l’option n’avait pas été désactivé, c’est le support de niveau 2 qui identifiera cette simple erreur de contrat.

En attendant de vous livrer le dénouement de cette histoire rocambolesque, je conclurai sur une question ouverte à Orange. Combien pensez vous vraiment gagner en ayant recours à des hotline offshore peu compétentes et au professionnalisme douteux ; combien vous coutent, autant en argent qu’en image, votre système de primes à la vente. N’ayant pas eu de soucis que cette fois-ci en acceptant des propositions commerciales faites par vos vendeurs, j’ai vraiment le sentiment que pour quelques euros de primes versées lors d’une vente à tous prix, votre entreprise se noie dans une politique de compensation auprès de votre service des réclamations.
Quelques nouvelles… Depuis le mois de décembre la raison pour laquelle mon acces everywhere est coupé est connue : puce désactivée, bien que la raison ne soit pas évidente (peut être est-ce parce que je n’ai pas renvoyé le contrat, chose que j’ai fait sur les conseils de la hotline, n’ayant pas l’enveloppe T avec l’adresse où l’expédier …) Donc depuis Octobre, je cherche à résoudre ce problème. Nous sommes maintenant fin Février. Depuis j’ai contacté 3 fois le service client (24/12, début janvier puis début février) à chaque fois celui-ci m’a promis un rappel sous 24:00… mais j’attends toujours et pendant ce temps, je continue a payer un abonnement Everywhere… Je crois que je vais essayé le service résiliation plutôt que client …
J’ai fini par avancer le 26 Fevier, j’ai cru avancer, après de nouvelle tentative pour joindre Orange, le support Internet a finit par m’expliquer qu’il ne gerent pas Everywhere et qu’il faut appeler le service client mobile. Apres avoir bataillé avec celui-ci pour qu’il retrouvent mes coordonnées (oui, on vous demande un numero en 06xxx attaché à la puce, numéro qui n’est présent nul part sur les documents que l’on vous transmet puisque c’est un rattachement à la ligne fixe qui est fait … bref, je finis par l’obtenir à partir du numéro de la puce et j’arrive à obtenir le niveau suivant de support apres avoir tenter vainement d’expliquer à mon interlocutrice que ce qu’est l’offre Live EveryWhere. Je tombe donc sur un individu qui comprend mon problème et me promet l’envoi d’une nouvelle puce… c’était il y a 10 jours maintenant … j’attends toujours et je vais devoir appeler de nouveau ! Le 7 Mars je renouvelle donc mon appel et obtient une personne du service Home d’Orange, elle m’explique que je suis tombé (enfin) au bon endroit, qu’il a identifié mon problème (ma ligne aurait été résilié à la place de celle d’une autre personne (dyslexie de l’opérateur lors de la frappe du numéro)) et qu’il va pouvoir simplement la réactiver. 1 heure seulement et le tour sera joué. Je l’informe qu’il me semble avoir compris que ce numéro avait été ré-alloué à une autre personne, mais pour ce monsieur, il n’y a pas de soucis… Et le 10 Mars j’appèle de nouveau le service consommateur puisque rien ne marche. Le premier coup la ligne est coupé, le second j’attends 20 minute et tombe finalement panne de batterie, bien entendu on ne me rappèlera pas. Le 15 Mars je réitère mon appèle et je tombe sur une personne qui m’expliqua que mon appel devait être fait coté Internet et non Mobile, après tout le long cheminement dont je vous ait parlé, j’ai essayé de la convaincre, mais celle-ci me raccrocha un nez plutôt que de me passer le service demandé.
Finalement j’ai rappelé en passant directement à l’étape de résiliation de mon abonnement, à priori, on ne peut me fournir le service souscrit, je me considère donc comme libre de tout engagement. La personne aimable me passera le Service Privilège d’Orange cette fois ci. Une seconde personne aimable m’a donc promis que ma ligne pourrait être très vite rétablit et qu’un email de confirmation allait arrivé. c’était il y a 24:00 … mais je garde espoir.

Ah ! un peu dans le meme genre : je me bat depuis l’ouverture de ma ligne de téléphone mobile pour être en prélèvement automatique et facture dématérialisée… et bien à mon retour de vacances j’ai reçu un TIP … vous y croyez vous ?!?

Juste pour finir cette histoire … J’ai, finalement, après 3 actions auprès du médiateur d’Internet, réussi à obtenir des remboursements et désabonnement avec remboursement des frais de résiliation abusivement prélevés. La procédure aura duré 18 mois pour en finir et à la vue des pénalités demandées par le médiateur à l’opérateur, il n’y a aucune raison que les choses s’améliorent. Pour moi, plus jamais Orange !

Qui Controle l’Internet (Benjamin Bayart – FDN)

Apres Minitel 2.0, Benjamin Bayart, président de FDN ( Un provider indépendant et associatif, engagé ) nous offre une conférence sur le thème de “qui controle l’Internet”.

http://www.linuxfr.org/2009/10/14/26026.html

Après écoute complète, je ne suis pas sûr que l’on réponde vraiment à cette question de façon directe, par contre de très nombreux sujets et points de vue autour de l’Hadopi, du droit d’auteur et surtout de l’Internet comme un système révolutionnant la démocratie y sont abordés. Des propos bien détaillés, illustrés et justifiés par des éléments factuels. L’auteur est engagé, c’est un libriste, mais il s’agit surtout d’une personne qui connait parfaitement les rouages techniques et économiques de l’Internet. On y apprend de nombreuses choses sur le fonctionnement interne des fournisseurs d’accès, les dérives du système et les risques qui sont encourus pour notre société. La conférence aborde des thèmes très pointus dans un discours accessible à tous. L’occasion pour chacun de décrypter le média Internet et contrebalancer l’information classique sur ce sujet.

Enfin, j’ajouterai qu’au travers du cas Hadopi présenté au travers des actions menées par les associations et les libristes individuels lors des sessions parlementaires, il illustre ce en quoi notre démocratie est fondamentalement en mouvement depuis l’arrivée du net, laissant présager ce qu’il en sera demain pour de très nombreux autres domaines que celui de l’informatique. Une vision d’anticipation en quelque sorte qui mérite votre examen … la démocratie 2.0

Bonne écoute…