Lorsque j’ai eu la mauvaise idée d’appeler Orange …

Cet appel me conduit à tomber sur une gentille opératrice commerciale qui ne manqua pas de me proposer l’option de la semaine, celle qui ne me sert à rien mais sur laquelle elle est objectivée. Je refuse donc en premier lieu sa proposition d’internet 3G dont je n’ai besoin pour finalement l’accepter après que celle-ci m’ait proposer de payer 3euros de moins par mois pour avoir un service supplémentaire. Plus pour moins cher, c’est toujours moins cher … Bref, me voila heureux possesseur d’une clef 3G début Octobre.
Le lendemain ma Télé (sur adsl) se coupe … appel au service client qui me confirme que mon abonnement TV a été résilié lors du choix 3G, ceci n’étant bien sur pas du tout convenu avec l’opératrice. Je me dis alors, pas de soucis, on réactive l’option et ça repars. Mais tout ceci est sans compter sur l’efficacité des services Orange qui m’ont dors et déjà envoyé un bon de retour pour mon décodeur TV et on aussi détruit mes droits de video à la demande (quelques 30euros dont plus personne n’a la trace nul part). L’histoire s’emmêle et si ma TV revient bien au bout d’une semaine, elle arrive en même temps qu’un second décodeur TV. Me voila donc avec 2 décodeurs et un bon de retour pour l’un deux, il n’y a rien à dire, chez Orange, on a les moyens et des clients qui n’ont que cela à faire que d’aller et venir à la poste pour récupérer ou retourner des colis. Finalement je téléphone au support et on me conseille (assez logiquement) de retourner le décodeur reçu pour ne pas démonter toute mon installation.
A ce moment, je pensais la situation résolue et Orange m’ayant dédommagé de plusieurs mois d’abonnements offert, l’incident étai clos. C’était sans compter sur la vigilance de leur processus qui ont sans doute constaté le retour d’un élément, mais pas de celui qui était demandé et début Novembre je reçois une mise en demeure pour leur retourner mon premier décodeur TV. Les huissiers ne sont pas loin, le RAR est de nouveau à se procurer à La Poste. Que faire ? retourner l’élément demandé ne me permettrait plus de recevoir la TV, service pour lequel je paye. Je contact encore la hotline offshore qui selon les personnes me conseille de ne rien faire (bravo), d’envoyer un courrier en RAR… Je demande que l’on me transmette un service compétent de type réclamation, je ne l’aurai jamais après 10 min d’attente supplémentaires on me raccrochera au nez (et personne ne reprendra contact avec moi alors que mon numéro leur était donné). Au final je choisi la lettre en RAR auprès du service réclamation, j’attends donc la suite à ce jour.
Toutefois, l’histoire ne serait pas totalement délirante si lorsque j’ai souhaité utilisé ma clef 3G, celle-ci n’avait pas été désactivée début Octobre, soit disant sur mon ordre, alors que je n’ai jamais formulé une telle demande et que dans tous les cas, je n’aurai pas souhaiter que ceci soit fait en conservant une offre Internet plus cher du fait de cette possibilité 3G. La hotline offshore n’y comprendra d’ailleurs rien, bien que je lui ai posé directement la question de savoir si l’option n’avait pas été désactivé, c’est le support de niveau 2 qui identifiera cette simple erreur de contrat.

En attendant de vous livrer le dénouement de cette histoire rocambolesque, je conclurai sur une question ouverte à Orange. Combien pensez vous vraiment gagner en ayant recours à des hotline offshore peu compétentes et au professionnalisme douteux ; combien vous coutent, autant en argent qu’en image, votre système de primes à la vente. N’ayant pas eu de soucis que cette fois-ci en acceptant des propositions commerciales faites par vos vendeurs, j’ai vraiment le sentiment que pour quelques euros de primes versées lors d’une vente à tous prix, votre entreprise se noie dans une politique de compensation auprès de votre service des réclamations.
Quelques nouvelles… Depuis le mois de décembre la raison pour laquelle mon acces everywhere est coupé est connue : puce désactivée, bien que la raison ne soit pas évidente (peut être est-ce parce que je n’ai pas renvoyé le contrat, chose que j’ai fait sur les conseils de la hotline, n’ayant pas l’enveloppe T avec l’adresse où l’expédier …) Donc depuis Octobre, je cherche à résoudre ce problème. Nous sommes maintenant fin Février. Depuis j’ai contacté 3 fois le service client (24/12, début janvier puis début février) à chaque fois celui-ci m’a promis un rappel sous 24:00… mais j’attends toujours et pendant ce temps, je continue a payer un abonnement Everywhere… Je crois que je vais essayé le service résiliation plutôt que client …
J’ai fini par avancer le 26 Fevier, j’ai cru avancer, après de nouvelle tentative pour joindre Orange, le support Internet a finit par m’expliquer qu’il ne gerent pas Everywhere et qu’il faut appeler le service client mobile. Apres avoir bataillé avec celui-ci pour qu’il retrouvent mes coordonnées (oui, on vous demande un numero en 06xxx attaché à la puce, numéro qui n’est présent nul part sur les documents que l’on vous transmet puisque c’est un rattachement à la ligne fixe qui est fait … bref, je finis par l’obtenir à partir du numéro de la puce et j’arrive à obtenir le niveau suivant de support apres avoir tenter vainement d’expliquer à mon interlocutrice que ce qu’est l’offre Live EveryWhere. Je tombe donc sur un individu qui comprend mon problème et me promet l’envoi d’une nouvelle puce… c’était il y a 10 jours maintenant … j’attends toujours et je vais devoir appeler de nouveau ! Le 7 Mars je renouvelle donc mon appel et obtient une personne du service Home d’Orange, elle m’explique que je suis tombé (enfin) au bon endroit, qu’il a identifié mon problème (ma ligne aurait été résilié à la place de celle d’une autre personne (dyslexie de l’opérateur lors de la frappe du numéro)) et qu’il va pouvoir simplement la réactiver. 1 heure seulement et le tour sera joué. Je l’informe qu’il me semble avoir compris que ce numéro avait été ré-alloué à une autre personne, mais pour ce monsieur, il n’y a pas de soucis… Et le 10 Mars j’appèle de nouveau le service consommateur puisque rien ne marche. Le premier coup la ligne est coupé, le second j’attends 20 minute et tombe finalement panne de batterie, bien entendu on ne me rappèlera pas. Le 15 Mars je réitère mon appèle et je tombe sur une personne qui m’expliqua que mon appel devait être fait coté Internet et non Mobile, après tout le long cheminement dont je vous ait parlé, j’ai essayé de la convaincre, mais celle-ci me raccrocha un nez plutôt que de me passer le service demandé.
Finalement j’ai rappelé en passant directement à l’étape de résiliation de mon abonnement, à priori, on ne peut me fournir le service souscrit, je me considère donc comme libre de tout engagement. La personne aimable me passera le Service Privilège d’Orange cette fois ci. Une seconde personne aimable m’a donc promis que ma ligne pourrait être très vite rétablit et qu’un email de confirmation allait arrivé. c’était il y a 24:00 … mais je garde espoir.

Ah ! un peu dans le meme genre : je me bat depuis l’ouverture de ma ligne de téléphone mobile pour être en prélèvement automatique et facture dématérialisée… et bien à mon retour de vacances j’ai reçu un TIP … vous y croyez vous ?!?

Juste pour finir cette histoire … J’ai, finalement, après 3 actions auprès du médiateur d’Internet, réussi à obtenir des remboursements et désabonnement avec remboursement des frais de résiliation abusivement prélevés. La procédure aura duré 18 mois pour en finir et à la vue des pénalités demandées par le médiateur à l’opérateur, il n’y a aucune raison que les choses s’améliorent. Pour moi, plus jamais Orange !

Qui Controle l’Internet (Benjamin Bayart – FDN)

Apres Minitel 2.0, Benjamin Bayart, président de FDN ( Un provider indépendant et associatif, engagé ) nous offre une conférence sur le thème de “qui controle l’Internet”.

http://www.linuxfr.org/2009/10/14/26026.html

Après écoute complète, je ne suis pas sûr que l’on réponde vraiment à cette question de façon directe, par contre de très nombreux sujets et points de vue autour de l’Hadopi, du droit d’auteur et surtout de l’Internet comme un système révolutionnant la démocratie y sont abordés. Des propos bien détaillés, illustrés et justifiés par des éléments factuels. L’auteur est engagé, c’est un libriste, mais il s’agit surtout d’une personne qui connait parfaitement les rouages techniques et économiques de l’Internet. On y apprend de nombreuses choses sur le fonctionnement interne des fournisseurs d’accès, les dérives du système et les risques qui sont encourus pour notre société. La conférence aborde des thèmes très pointus dans un discours accessible à tous. L’occasion pour chacun de décrypter le média Internet et contrebalancer l’information classique sur ce sujet.

Enfin, j’ajouterai qu’au travers du cas Hadopi présenté au travers des actions menées par les associations et les libristes individuels lors des sessions parlementaires, il illustre ce en quoi notre démocratie est fondamentalement en mouvement depuis l’arrivée du net, laissant présager ce qu’il en sera demain pour de très nombreux autres domaines que celui de l’informatique. Une vision d’anticipation en quelque sorte qui mérite votre examen … la démocratie 2.0

Bonne écoute…

Anti-Onde les meilleurs détracteurs d’eux-mêmes …

J’ai toujours adoré les détracteurs du téléphone portable, maintenant du Wifi, ils sont à mon sens les meilleurs détracteurs de leur propre cause, simplement car ils n’ont aucune idée de ce quoi ils parlents et sont d’une hystérie sans limite sur tout ce qui touche à leur sujet d’angoisse…

Car elle est bien là la maladie actuelle de toutes ces personnes, ca s’appele l’angoisse, l’angoisse d’être malade génère la maladie, trouble du someil, douleur … les symptomes classiques de l’angoisse et ceci est tellement vrai que la simple présence d’une antenne, même débranchée va les rendre malade … bien sûr je parle des cas extrèmes, mais simplement car ce sont ceux-ci qui s’expriment dans les médias.

Hors, si risque bien réel il y a, ce n’est pas celui de l’angoisse que l’on soigne à base de zone sans ondes (les camping onde-free apparaissent, c’est très drole …) ou quelques psychotropes, mais des maladies qui appraitront dans 5, 10, 15 ans appelées cancer par exemple ou d’autres troubles divers.

L’action et la communication exercée par ces groupes d’anti ondes et relayé avec délectation par les médias sonne le discredit sur les propos de tous ceux qui nous appellent à la prudence, laissant ainsi libre court à toutes communications de ceux pour qui les ondes sont un gagne pain.

Hier, appliquant le principe légitime de précaution suite aux résultats de quelques études jugées valables par l’agence de sécurité sanitaire, cette dernière demande la limitation des expositions aux ondes. Principe non accompagné d’une normalisation des expositions ou de quelques autres éléments qui permettrait de distinguer une bonne exposition d’une exposition à risque et se limitant donc à des recommandations classiques comme il en est fait depuis deja de nombreuses année. Le legislateur devra donc poursuivre les travaux pour lui donner du sens. Mais sur ce point n’est pas mon propos.

Aujourd’hui, déjà, les associations d’hysteriques et angoissés de tout poil s’insurgent, l’AFSA ment, l’AFSA est vendue aux lobbies hertziens… bla bla bla et les journaliste de relayer ces propos… comme toujours … bref, on n’avance pas et on n’avancera pas ! on ressort toujours les mêmes études contredisant l’AFSA, études que justement cet organisme a étudié et a jugé bonnes ou mauvaises non pas vis à vis de leur résultats mais vis à vis du contexte d’expériementation. Car c’est bien de cela qu’il faut parler, le contexte d’expérimentation, car c’est là dessus que ce joue la justesse et la rigueur scientifique, pas sur les résultat que l’étude procure mais sur la façon dont elle a été menée. Sur ce point je pense que l’AFSA est un organisme de confiance et que si “bug” il y a dans une étude, cela ne signifie pas forcement que les résultat est faux et l’étude mise aux oubliettes, cela signifie que les résultats sont faussés par la méthodologie employée et qu’elle doit être revue par ceux qui l’ont produite… Produire une étude qui dira ce que l’on veut entendre est aussi simple que de produire un sondage qui va dans le sens de son opinion personnelle, il suffit de poser la question de la bonne façon. Le travail de l’AFSA est donc de s’assurer, en quelque sorte, que la question posée etait neutre.

Ou est-ce que je veux en venir ? Si j’écoute les média sur ce sujet, j’entend 50% de scientifiques tenant une position de scientifique, à savoir que tant qu’il n’est pas prouvé qu’il n’y a pas de rique, il en existe un potentiel (avis objectif en l’attente de preuve) mais qu’a ce jour il est non mesurable. J’entends aussi 50% d’hysteriques avec un tres faible bagage scientifique adapté brocarder des études qu’ils ne comprennent pas et tenir des propos d’opinion personnelle sur le sujet. Qu’est ce que l’information et le travail journalistique ? est-ce de relayer des propos un peu comme des news AFP ou est-ce de fournir une analyse objective, je me pose une nouvelle fois la question, en tout cas, face à cela je ne peux que cherche à me forger une opinion personnelle et chacun devra faire de même.

Mon bagage scientifique m’impose de me retrancher du coté de l’AFSA, mais le commun des Français trouvera sans doute plus d’accorche du coté de ceux qui crient au complot economico-politico-je-sais-pas-quoi… Là est le danger car d’une part il propage dans la société une information fausse et discretite la communauté scientifique qui pourtant est bien la seule source de faits mesurables et vérifiables. Mais par ailleurs, il génère dans les masses l’angoisse évoquée au début et propage dans notre société cette maladie auto-imune qui ronge les inquiets installés à coté des antennes.

La question des ondes (mais cela s’applique aux OGM) devrait être abordé de façon serenne et j’aimerai que dans notre société qui se veut évoluée, intelligente, on ne mette pas au même niveau les propos de mère Denise avec ceux d’un groupe de scientifique. Les questions de mère Denise sont les bienvenues et elles sont nécessaires pour faire avancer la société dans un mouvement démocratique. Ses convictions personnelles elles, n’ont aucun intéret pour notre société. Par contre les réponse d’un groupe de scientifiques aux questions de mère Denise sont elle primordiales pour garantir que notre société évolue dans la bonne direction.

Cette histoire, comme de très nombreuses autres, me font poser la question du role du journalisme dans la société et si le journaliste qui cherche la vérité et denonce objectivement existe … la réponse est oui sur Internet (Mediapart entre autre) mais de façon minoritaire. Le journalisme de masse (TF1, F2…) s’enfonce lui dans la médiocrité chaque jour un peu plus,  nous créons un société à deux vitesse, celle de l’accès à l’information, il me semble que nous voyons chaque année un regression sur ce point ; mauvais facteur pour notre démocratie.

Le Cloud Computing

Cloud Computing

Mot sur toutes les lèvres lors du Gartner Summit de Londre sur les Data Center, il n’en reste pas moins qu’il s’agit à ce jour plus d’un concept que d’une réalité. Il existe toutefois plusieurs réalités sous-jacentes à ce concept. Réalité qu’il faudra prendre en compte dans les années à venir et qui peuvent radicalement changer notre contexte d’infrastructure, principalement pour ce qui touche à l’industrialisation des applications et à la consolidation.
S’il y a deux termes à retenir dans la notion de cloud, c’est élasticité et facturation au service. Termes qui vont prendre des conotations differentes si l’on parle de cloud privé (infrastructure dont nous sommes propriétaire) ou de cloud publique (infrastructure que nous achetons comme un service à l’extérieur).
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Cloud Computing et applications hébergées

Le cloud computing est le fait de mettre des applications à disposition sur des serveurs et que ces applications puissent être utilisées de n’importe où dans le monde au travers d’un navigateur. Le système permet donc une installation centralisée de l’application, une diffusion immédiate sans installation sur le poste client. Il permet une trés forte scalabilité car les applications peuvent être déployées sur autant de serveurs que nécessaire. En outre, ces sytèmes sont nativement coopératifs : partage de documents entre plusieurs utilisateurs… Utilisant des technologies Ajax/Web2, ils offrent des interfaces graphique similaire à des client lourds (on parle de client riche ici). Une partie du traitement est exécuté coté serveur, une partie coté client. En général, le client exécute les fonctions graphiques (gestion de l’interaction avec l’utilisateur) alors que le backend coté serveur gère les données.
Les google apps sont sans doute les applications les plus évoluées et couvre le nécessaire minimum d’entreprise : traitement de texte, tableur, agenda, mail et partage documentaire. Certaines entreprise comme Tweeter se sont fait connaitre, après avoir eu quelques déboires, pour utiliser ces outils, presque exclusivement dans leur activité.
Le principal problème des applications de type cloud est quelles ne respectent pas une sorte de standard comme des application classiques, ce qui fait qu’il est difficile de les mélanger les une avec les autres sur une sorte de bureau classique, si bien que l’on travaille avec des onglets ou des fenêtres ce qui n’est pas vraiment pratique à l’usage. Il manque donc une couche de gestionnaire de fenêtre standard, permettant l’intégration d’applications multiples. Personne n’etant mur là dessus, la proposition de Google est pour l’instant l’emploie de Chrome, un navigateur qui separe chaque onglet du browser. Cette solution n’est en rien un bureau, mais elle permet, lorsqu’un onglet plante, dans l’usage actuel, de ne pas perdre les autres onglets et les données qu’il contient. Un peu comme les windows actuel, contrairement à Win 3.11, permettent en cas de plantage d’une application de ne tuer que celle-ci, sans rebouter l’ensemble.

Le second frein est la manque d’applications, même si de plus en plus sont disponibles, malgré tout même si ce qu’elles font déjà est bluffant, il leur reste du chemin avant de couvrir les fonctionnalités des clients lourds. Si bien que j’en viens à me demander si une solution ne serait pas l’implémentation d’un protocole X windows en JavaScript. Il permettrait d’exécuter n’importe quelle application Linus dans un browser web, recréant dans le browser le bureau dont nous avons besoin. J’imagine certe que la performance pourrait être moindre mais toujours meilleure que les solutions VNC souvent utilisées ; proche de CITRIX qui a fait ses preuves sur des connexions lentes.
Technologiquement ca n’a rien d’innovant et contrairement au Web2, on ne profitera pas d’un traitement front-end intelligent, ni même d’un backend capable de supporter un crash du front-end sans perte de données comme nous l’avons avec les google apps… Cela mérite toutefois d’être réfléchi, vu le parc applicatif sous X, bien plus complet que ce qui existe en Web2.

Bye Bye Canal

Coté service, à l’époque de la VOD à 3 euros le film à la demande, franchement … 30 à 40 euros par mois ca ne vaut plus le coup. Mais coté service c’est la catastrophe.

Je veux dire qu’il est totalement impossible de les joindre et le plus fou, c’est que même le numéro de leur service client est inexistant. Vous avez un problème technique, pas de numéro de téléphone, vous souhaitez vous désabonner pas mieux et pire encore, vous souhaiteriez vous abonner, toujours rien … Quand par chance vous trouvez un numéro sur un forum sur Internet vous avez un serveur vocal avec des choix qui ne correspondent pas et vous font tourner en boucle.

Je trouve cela totalement délirant …. ajoutez à celà que lorsque vous résiliez, les “revendeurs” se disent “non distributeurs” et refusent de reprendre votre matériel (ce qui veut dire, je veux bien ma com sur l’abonnement mais pas les cout afférents)

J’ai l’impression avec canal de rentrer dans l’aire du Buisness Process automatisé où la procédure d’abonnement automatique en ligne est la seule chose qui marche, on vous expédie un boite, on s’assure que vous êtes bien débité, et ensuite, vous n’existez plus, vous entrez dans un monde automatique, in-humain ou les robots ont le controle … ca semble délirant mais ca existe.

Il m’aura donc fallu 1h de recherche sur Internet et l’appel à 4 numéros pour en trouver un qui bien sur est saturé mais répond : 08050807600 …

Pour compléter cet article, je tiens à mentionner mon échange avec eux, après avoir trouvé le numéro … Alors qu’ils sont capable de me dirent à quelle date ils ont reçu mon décodeur (preuve qu’ils l’ont reçu et que leurs systèmes informatique détiennent cette information), il semble qu’ils refusent de rembourser la caution sans une seconde preuve de ma part comme le récépissé de la poste. Où, en d’autre terme, comment gagner des euros facilement en instaurant une procédure compliquée… au final … gardez votre décodeur et ne leur rendez pas, c’est plus simple et presque plus économique.

La fin des GPUs

Document très intéressant sur la fin programmé des cartes vidéo accélératrices 3d au profit des processeurs mutli-coeurs.
Le raisonnement se tient bien, implacable, de la part de spécialistes de la questions.
Finalement, comme toujours, une période de spécialisation précède une période de généralisation, jusqu’au prochain plafonnement ; et ainsi de suite.
Au client / serveur, suit la bureautique puis le cloud computing … C’est toujours la même histoire.

Click to access TimHPG2009.pdf

Mp3, solutions légales et droit de copie privée

Désireux d’acheter de la musique en ligne, je regarde en ce moment l’offre proposé avec un oeil particulier, celui d’une personne désirant écouter sa musique sur ses ordinateurs, son téléphone portable et son iPod, bref, un peu comme tout le monde, la particularité en plus d’être une utilisateur de Linux, si bien que je suis à la recherche d’une offre sans DRM me permettant de profiter de mon achat sur l’ensemble des moyens à ma porté.

Heureusement, cette solution existe et entre autre iTunes offre une version “plus” sans DRM, mais je découvre aussi que cette offre plus est 30 centimes plus cher par titre … J’aimerai que l’on m’explique pour quelle raison je paie une taxe sur la copie privée sur l’ensemble des mes équipements électroniques si l’on me demande encore une taxe supplémentaire de 30 centimes par titre  pour me permettre l’exercice de ce droit.

Le monde est fou ! Dois-je aller à la fnac, acheter un CD à un prix normal puis le descendre en mp3 ? A moins que l’on prefere que je le télécharge sur une offre illégale mais, elle, adaptée au marché …