Quelques notions Oracle

En ce moment, je bricole pas mal avec Oracle pour chercher pourquoi certaines de nos applications rament … D’où l’envie de mettre quelques informations sur les principaux point à regarder. Cet article n’a pas de vocation exhaustive mais ce sont plutôt quelques notes sur un coin de table…

Oracle est une base possédant un énorme moteur d’optimisation de requêtes, sans doute très fort pour le traitement massif de données, cependant, le moindre grain de sable transforme immédiatement votre Ferrarie en une 2CV. Au premier rang des grains de sable se trouvent les statistiques. Il s’agit d’une donnée Oracle indiquant le nombre de lignes que la table doit contenir. Fonction de ce nombre, l’optimiseur choisira une methode de recherche des données dans une table plutôt qu’une autre. Il pourra utiliser des INDEX ou des CLEFS ou choisir de faire un FULL SCAN (essayer les lignes une à une). S’il se trompe… c’est la cata. Le premier point est donc de vérifier ces stats en consultant le nombre de ligne qu’ORACLE pense avoir dans “all_tables” et le comparer aux nombre de lignes reellement dans la table count(*).
Ceci étant dit, je n’ai pas dit grand chose car il est avant nécessaire d’identifier quelles sont les tables concernées, ceci peut se faire de 2 façons, la première, lorsque le temps de réponse est catastrophique, consiste à regarder les session actives et visualiser le sql en cours de traitement. Ceci se fait facilement avec des outils comme TOAD ou DbVisualizer.
La requête peut aussi être identifiée à l’aide du stat_pack oracle. Cet outil permet de mémoriser l’état de la SGA avant et après un traitement puis de faire une comparaison de entre les deux images. Cet outil permet alors de savoir quelles sont les requêtes qui ont consommées le plus de temps, quelle est l’utilisation de la SGA ou de la PGA … Bref … une fois la requête identifiée, il est possible de demander à Oracle un Explain plan qui indiquera quels est la complexité de la requête et par quelles méthode les données sont recherchées (full scan, index…)
Il est alors possible d’identifier les problèmes. Il faut identifier s’il existe un index qui pourrait être utilisé et qui ne l’est pas par exemple ou s’il faudrait créer un nouvel index. Dans le premier cas, il est possible que les stats ne soient pas bonnes car si oracle préfère un fullscan à un index, c’est sans doute qu’il croit que la table ne contient que très peu de lignes.
Si tout semble normal de ce point de vue, il arrive que les index aient besoin d’être rebuildés : il se peu que les arbre binaires associés soient déséquilibrés, que le nombre de niveau devienne trop grand et que son utilisation ne soit pas efficace. Un rebuild peut résoudre cela. Il est aussi possible, à l’aide de Hints de forcer Oracle à utiliser un index donné. Mais ceci n’est valable que lorsque vous avez accès aux sources de l’application.
On peut enfin penser à faire un reset de la High Water Mark sur une table donnée si vraiment on constate des soucis sur cette table alors que tout le reste est ok.

Avant de vraiment s’attaquer à tout cela, il peut être utile de jeter un oeil aux estimations que donne le stat pack sur la taille des SGA, PGA et Shared Pool car des espaces mémoire trop réduits vont fortement pénaliser Oracle qui devra faire trop d’accès aux disques. Dans le même esprit, il faut jeter un oeil aux taille des redo-log qui peuvent conduire à des fréquences d’I/O trop élevées dans les système de type batch.

Bon courage avec toutes ces notions et idées un peu en vrac … il y a ici surtout des mots clefs pour chercher ensuite sur google. A l’occasion, je mettrai des information plus opérationnelles, promis !

Recalcul d’index dans une base Oracle

Deux petits scripts permettant le recalcul des index d’une base oracle lorsque ceux-ci ont l’air louche … Les scripts sont à passer l’un après l’autre sur la base

--- AnalyseIndex.sql
set pages 9999;
set heading off;
set feedback off;
set echo off;
set linesize 255;

spool step1.sql;
select 'drop table system.temp_stats_paul;' from dual;
select 'create table system.temp_stats_paul as select name, most_repeated_key, distinct_keys, del_lf_rows, height, blks_gets_per_access, lf_rows from index_stats;' from dual;

select 'analyze index '||owner||'.'||index_name||' validate structure;',
'insert into system.temp_stats_paul ( select name, most_repeated_key, distinct_keys, del_lf_rows, height, blks_gets_per_access, lf_rows from index_stats where height > 3 or ( 100 * del_lf_rows / (lf_rows+1) ) > 20 or BLKS_GETS_PER_ACCESS > 5 );'
from dba_indexes
where
owner not in ('SYS','SYSTEM');

spool off;
set heading on;
set feedback on;
set echo on;

@step1.sql
quit
--- RebuildIndex.sql
set pages 9999;
set heading off;
set feedback off;
set echo off;
set linesize 255;

spool step2.sql;

select 'alter index '||owner||'.'||name||' rebuild tablespace '||tablespace_name||';'
from system.temp_stats_paul, dba_indexes
where system.temp_stats_paul.name = dba_indexes.index_name;

spool off;

drop table system.temp_stats_paul;

set heading on;
set feedback on;
set echo on;

@step2.sql
quit

Tutoriel Ajax – Création d’un diaporama

(‘Article rédigé par un groupe d’étudiants d’IUT dans le cadre d’un projet tutoré)

Dans cet article, je vais vous montrer comment réaliser un diaporama en Ajax. Pour cela je vais utiliser trois langages: le HTML, du JavaScript ainsi que du PHP.
Le code du diaporama est scindé en 3 fichier: galerie.html, galerie.js et galerie.php.
Le premier est la page web contenant la mise en page avec les différents évènements possibles tels que le clic sur la flèche précédente ou suivante.
Voici son code avec des explications:
—————————————

<!DOCTYPE html PUBLIC “-//W3C//DTD HTML 4.01 Transitional//EN”>
<html>
<head>
<meta content=”text/html; charset=ISO-8859-1″
http-equiv=”content-type”/>
<!– On inclut notre future fichier JavaScript –>
<script type=”text/javascript” src=”/ajax/galerie.js”></script>
<title>galerie</title>
</head>

<body style=”background-color: rgb(170, 0, 0);”>
<h1 style=”text-align: center;”>GALERIE D’ IMAGES</h1>
<hr />
<!– Voilà l’endroit où le résultat sera affiché, reconnu dans notre futur fichier JavaScript par son id. Pour le moment, on affiche rien. –>
<div style=”background:black; text-align: center” >
<br /><br />
<img id=”i_pred” src=”/ajax/pred.png” onClick=”javascript:galerie=pred()” style=”cursor:pointer”/>
———-
<img id=”i_suiv” src=”/ajax/suiv.png” onClick=”javascript:galerie=suiv();” style=”cursor:pointer”/>
<br />
<img id=”image” src=”/ajax/start.jpg”/>
<br /><br />
</div>
<hr />
<script type=”text/javascript” >galerie=suiv();</script>
</body>
</html>

—————————————

Ce sont les fonctions pred et suiv, appelées une fois qu’une flèche a été cliquée, qui modifieront l’image. A la fin du body, on appel la fonction suiv pour initialiser l’image.

Jetons un coup d’oeil dans le fichier JavaScript:

—————————————

/*
Fonction qui crée un objet XHR.
Cette fonction initialisera la valeur dans la variable globale “requete”
*/

var requete = null; /* On crée une variable qui contiendra l’objet XHR */
var galerie =-1;

function creerRequete() {
try {
requete = new XMLHttpRequest(); /* On essaye de créer un objet XmlHTTPRequest */
} catch (microsoft) {
/* Si cela ne marche pas, on a peut-être affaire à un navigateur de Microsoft. On tente alors de créer un objet ActiveX */
try {
requete = new ActiveXObject(‘Msxml2.XMLHTTP’);
} catch(autremicrosoft) {
/* Autre méthode si la première n’a pas marché */
try {
requete = new ActiveXObject(‘Microsoft.XMLHTTP’);
} catch(echec) {
/* Si aucune méthode ne fonctionne, on laisse l’objet vide*/
requete = null;
}
}
}
if(requete == null) {
alert(‘Votre navigateur ne semble pas supporter les object XMLHttpRequest.’);
}
}

function pred()
{
creerRequete();
galerie –;
var url = ‘galerie.php?image=’+galerie;
requete.open(‘GET’, url, true);
requete.onreadystatechange = function() {
if(requete.readyState == 4) {
if(requete.status == 200) {
if(requete.responseText!=””)
{
document.getElementById(‘image’).src=”/ajax/img/” + requete.responseText;
}
}
}
};
requete.send(null);
return galerie;
}

function suiv()
{
creerRequete();
galerie ++;
var url = ‘galerie.php?image=’+galerie;
requete.open(‘GET’, url, true);
requete.onreadystatechange = function() {
if(requete.readyState == 4) {
if(requete.status == 200) {
if(requete.responseText!=””)
{
document.getElementById(‘image’).src=”/ajax/img/” + requete.responseText;
}
}
}
};
requete.send(null);
return galerie;
}
—————————————

On initialise la variable galerie. Elle servira d’index.
Comme vous pouvez le voir, nos fonctions pred et suiv ont un code similaire.
Chacune effectue la création de l’objet XHR en appelant la fonction creerRequete.
Puis elles incrémentent ou décrémentent la variable relative à l’identifiant de l’image.
On construit ensuite l’URL, les arguments seront passés par la méthode GET.
On initialise la fonction de renvoi d’information.
On teste si on est au début du diaporama (galerie = 0) ou si on est a la fin (la requête retourne rien).
Si l’on est dans le cas optimal, on affiche la nouvelle image.
On retourne la variable galerie à la page HTML.
Pour comprendre la totalité du diaporama, il faut ensuite regarder le code qui sera exécuté sur le serveur : galerie.php

—————————————

<?php
/*
On vérifie que le paramètre GET est bien présent
*/
function isnotpoint($var)
{
return $var!=”.” && $var !=’..’;
}

if(isset($_GET[‘image’]))
{
$image = $_GET[‘image’];
$image = abs($image);
$tableau = scandir(‘./img/’);
$tableau = array_filter($tableau,”isnotpoint”);
$nbimage = count ($tableau);
$image = ($image%$nbimage)+2;

echo $tableau[$image];

}
else
echo “Erreur GET”;
?>

—————————————

L’algorithme de ce code est le suivant:
On vérifie que le paramètre image est présent. On prend la valeur absolue de notre paramètre, ceci est utile lorsque l’index est inférieur à zéro. Si c’est le cas on utilise la fonction scandir et on stocke le résultat dans la variable tableau. La fonction scandir est très utile dans ce cas, en effet elle va retourner chacun des fichiers du dossier mais aussi un “.” et “..”, c’est pour cela que l’on utilise la fonction array_filter qui va les enlever du tableau. La fonction count permet de retourner le nombre d’éléments du tableau. On effectue un modulo de l’index avec ce nombre, et on ajoute 2. En effet, la fonction array_filter ne créer pas un nouveau tableau, mais efface juste les éléments correspondant à la recherche, C’est pour cela qu’il faut penser que les deux premiers éléments du tableau sont vides et ajouter 2. On retourne par la suite l’élément voulu.

Voilà, ce tutorial est terminé, vous pouvez à présent créer un diaporama utilisant Ajax pour votre site web.

 

Tutoriel Ajax – Infobulle

(Article rédigé par un groupe d’étudiant d’IUT dans le cadre d’un projet tutoré)

Voici un tutorial qui permet lorsque l’utilisateur passe la souris au dessus d’un mot définie a préalable, d’afficher dans une bulle un texte, une image ou ce que l’on veut.

On peut ainsi utiliser ce principe pour donner la signification de certains mots, ou même pour un lien afficher dans la bulle la première phrase de la page cible du lien.
Dans cet exemple les mots et leur significations ce trouvent dans le fichier xml.

Voici le fichier html :

<html>

<head>

<link rel=”stylesheet” type=”text/css” href=”/ajax/bulle.css” media=”all” />

<script type=”text/javascript” src=”/ajax/bulles.js”></script>

</head>

<body>

<div id=”curseur”></div>

Mot :<br />

Connaissez vous l'<span onmouseover=”javascript:affbulle(this)” onmouseout=”javascript:cache()”>ajax</span> ?<br />

C’est un concept <span onmouseover=”javascript:affbulle(this)” onmouseout=”javascript:cache()”>informatique</span> !<br />

Retour à la ligne

</body>

</html>

Explication : On peut remarquer les balises <span>, ce sont elles qui vont nous servir pour récupérer le mot associé à la définition ;

Deux fonctions JavaScript vont être appelés :

-affbulle va servir pour charger la définition du mot et afficher la bulle lorsque le mot est survolé.

-cache va comme son nom l’indique masquer la bulle lorsque la souris ne se trouve plus sur le mot concerné.

On peut se demander a quoi va servir la balise <div>, c’est tout simplement la déclaration de la bulle.

 

Voici le fichier css associé :

.infobulle{

position: absolute;

visibility : hidden;

border: 1px solid Black;

padding: 10px;

font-family: Verdana, Arial;

font-size: 10px;

background-color: #FFFFCC;

}

 

.lienbulle{

color: #0000ff;

cursor: help;

text-decoration: underline;

}

 

Rien de particulier, infobulle concerne la bulle et lienbulle concerne le mot en question.

 

Voici maintenant le fichier xml :

 

<?xml version=”1.0″ ?>

<root>

<ajax>Texte correspondant a l’Ajax</ajax>

<informatique>Texte correspondant a l’informatique</informatique>

</root>

 

Il suffit de créer la balise <nom> (nom étant le mot qui va être décrit), puis entre cette balise ouvrante et la balise fermante, on placera la description qui apparaîtra dans la bulle

 

Attaquons nous maintenant au fichier JavaScript :

 

/*

Fonction qui crée un objet XHR.

Cette fonction initialisera la valeur dans la variable globale “requete”

*/

 

var requete = null; /* On crée une variable qui contiendra l’objet XHR */

 

function creerRequete() {

try {

requete = new XMLHttpRequest(); /* On essaye de créer un objet XmlHTTPRequest */

} catch (microsoft) {

/* Si cela ne marche pas, on a peut-être affaire à un navigateur de Microsoft. On tente alors de créer un objet ActiveX */

try {

requete = new ActiveXObject(‘Msxml2.XMLHTTP’);

} catch(autremicrosoft) {

/* Autre méthode si la première n’a pas marché */

try {

requete = new ActiveXObject(‘Microsoft.XMLHTTP’);

} catch(echec) {

/* Si aucune méthode ne fonctionne, on laisse l’objet vide*/

requete = null;

}

}

}

if(requete == null) {

alert(‘Votre navigateur ne semble pas supporter les objets XMLHttpRequest.’);

}

}

 

Pour l’instant, nous avons le même code que pour l’implémentation.

 

function GetId(id)

{

return document.getElementById(id);

}

var i=false; // La variable i nous dit si la bulle est visible ou non

 

function move(e) {

if(i) { // Si la bulle est visible, on calcul en temps reel sa position idéal

if (navigator.appName!=”Microsoft Internet Explorer”) { // Si on est pas sous IE

GetId(“curseur”).style.left=e.pageX + 5+”px”;

GetId(“curseur”).style.top=e.pageY + 10+”px”;

}

else {

if(document.documentElement.clientWidth>0) {

GetId(“curseur”).style.left=20+event.x+document.documentElement.scrollLeft+”px”;

GetId(“curseur”).style.top=10+event.y+document.documentElement.scrollTop+”px”;

} else {

GetId(“curseur”).style.left=20+event.x+document.body.scrollLeft+”px”;

GetId(“curseur”).style.top=10+event.y+document.body.scrollTop+”px”;

}

}

}

}

 

La fonction qui précède ce charge de la position de la bulle par rapport au curseur

 

function montre() {

if(i==false) {

GetId(“curseur”).style.visibility=”visible”; // Si elle est cachée (la verification n’est qu’une sécurité) on la rend visible.

i=true;

}

}

 

La fonction montre() va simplement rendre visible la bulle.

 

function cache() {

if(i==true) {

GetId(“curseur”).style.visibility=”hidden”; // Si la bulle est visible on la cache

i=false;

}

}

 

A l’inverse cache() va masquer la bulle.

 

function affbulle(src) {

/* On crée notre super objet XHR global */

creerRequete();

 

/* On édite les propriété de l’objet : type de paramètre, url (avec paramètres) et une option autorisant une réponse du serveur */

requete.open(‘GET’, ‘test.xml’, true);

 

/* On initialise la fonction de renvoi d’information */

requete.onreadystatechange = function() {

if(requete.readyState == 4) {

if(requete.status == 200) {

 

/* On récupère le contenu de notre fichier */

var xml = requete.responseXML;

document.getElementById(‘curseur’).innerHTML = xml.getElementsByTagName(src.innerHTML).item(0).firstChild.data;//c’est ici que l’on charge la définition du mot

 

}

}

}

/* C’est partit ! On envoi la requête XHR au serveur */

requete.send(null);

montre();

}

document.onmousemove=move; // dés que la souris bouge, on appelle la fonction move pour mettre à jour la position de la bulle.

 

Cette fonction va donc accéder au fichier xml et charger la définition du mot et la retourner au ‘curseur’ pour qu’il affiche le tout dans la bulle.

Le ‘src.innerHTML’ correspond au mot qui se trouve dans le fichier html entre les balises span, ce mot doit être identique a la balise du fichier xml contenant la définition, il servira par conséquent d’identifiant.

Reparation Raid hardware sur carte nVidia

Comme évoqué dans un autre post, j’ai eu l’occasion ce jour de remonter un raid mirroring dont l’un des disque a rendu l’âme.
J’espérai cette manip transparente avec l’outil du bios, j’imaginais celui-ci re-clonant les disques … et bien non. sachez, amis LINUXIENS que dans une telle situation, il faudra installer un Windows pour lancer l’utilitaire nVidia vous permettant de procéder à la reconstruction. Ce n’est pas très long à condition d’avoir un disque en rab et les install du dit OS …
Bref, pour ma part, la prochaine réinstalle se fera avec un soft RAID Linux dont l’usage est finalement plus simple. Dommage car à la création ce mirroring nVidia etait très pratique..;

Tutoriel Ajax – Onglets

(Article rédigé par un groupe d’étudiants d’IUT dans le cadre d’un projet tutoré)

Dans ce tutoriel nous allons voir comment mettre en œuvre une page avec divers onglets.

Les pages qui seront spécifiques à un seul onglet seront sauvegardées dans une base de données.

Nous verrons les différents fichiers utiles à cette application tel que :

-un fichier CSS pour la mise en forme de la page principale

-un fichier HTML pour la page principale qui contient nos onglets

-un fichier JS pour l’utilisation des technologies Ajax et le chargement du contenu des onglets

-un fichier PHP pour l’accès à la base de données

 

 

DEMO .HTML

Voici notre page html :

 

<!DOCTYPE html PUBLIC “-//W3C//DTD XHTML 1.0 Transitional//EN” “http://www.w3.org/TR/xhtml1/DTD/xhtml1-transitional.dtd”>

<html xmlns=”http://www.w3.org/1999/xhtml”>

<head>

<title>Onglet</title>

<meta http-equiv=”Content-Type” content=”text/html;charset=utf-8″ />

<!–on fait reference au fichier CSS pour la mise en page –>

<link href=”/ajax/onglet.css” type=”text/css” rel=”stylesheet” media=”all”/>

<!–on fait reference au fichier javascript pour les fonctions –>

<script type=”text/javascript” src=”/ajax/onglet.js”></script>

</head>

 

<body>

<!—on déclare le cadre qui contiendra les onglets et la page qui sera affichée–>

<div id=”onglet”>

< !–ce cadre contiendra seulement les différents onglets et on leurs associe la fonction loadonglet avec en paramètre le numéro de la page à charger –>

<ul id=”menu_onglet”>

<li><a href=”javascript:loadonglet(1)”>premiere page</a></li>

<li><a href=”javascript:loadonglet(2)”>deuxieme page</a></li>

<li><a href=”javascript:loadonglet(3)”>troisieme page</a></li>

</ul>

<!–le cadre contiendra la page qui sera affichée–>

<div id=”page”></div>

</div>

</body>

</html>

 

 

ONGLET .CSS

Le fichier CSS sert à la mise en forme de la page avec : une partie qui contiendra les différents onglets et une partie qui contiendra le contenue de la page qui sera chargé.

body {

font-size:12px;

color:#333;

padding:10px;

}

ul li {

list-style-type:none;

margin-left:10px;

}

/*** Onglets */

div#onglet {}

div#onglet ul#menu_onglet {

list-style-type: none;

margin: 2px 0px;

padding: 0px;

}

/*** Listes des onglet */

div#onglet ul#menu_onglet li {

display: inline;

}

div#onglet ul#menu_onglet li {

border-top: 1px solid #ccc;

border-left: 1px solid #ccc;

border-right: 1px solid #ccc;

background:white;

padding: 4px 12px 2px 12px;

}

div#onglet ul#menu_onglet li:hover {

border-bottom: 1px solid #fff;

cursor:pointer;

}

/*** Contenu des onglet */

div#onglet div#page {

padding: 10px;

width:550;

border-top: 1px solid #ccc;

border-left: 1px solid #ccc;

border-right: 1px solid #ccc;

border-bottom: 1px solid #ccc;

}

 

Onglet.js

 

/*

Fonction qui crée un objet XHR.

Cette fonction initialisera la valeur dans la variable globale “requete”

*/

 

/* On crée une variable qui contiendra l’objet XHR */

var requete = null;

function creerRequete() {

try {

/* On essaye de créer un objet XmlHTTPRequest */

requete = new XMLHttpRequest();

} catch (microsoft) {

/* Si cela ne marche pas, on a peut-être affaire à un navigateur de Microsoft. On tente alors de créer un objet ActiveX */

try {

requete = new ActiveXObject(‘Msxml2.XMLHTTP’);

} catch(autremicrosoft) {

/* Autre méthode si la première n’a pas marché */

try {

requete = new ActiveXObject(‘Microsoft.XMLHTTP’);

} catch(echec) {

/* Si aucune méthode ne fonctionne, on laisse l’objet vide*/

requete = null;

}

}

}

if(requete == null) {

alert(‘Votre navigateur ne semble pas supporter les object XMLHttpRequest.’);

}

}

 

 

function loadonglet(num) {

/* On crée notre super objet XHR global */

creerRequete();

/* On construit à l’avance notre URL en passant les parmètre en GET. Le paramètre sera le numéro de l’onglet qui est cliqué possédant l’identifiant ‘num’. */

var url = ‘onglet.php?onglet=’+num;

/* On édite les propriété de l’objet : type de paramètre, url (avec paramètres) et une option autorisant une réponse du serveur */

requete.open(‘GET’, url, true);

/* On initialise la fonction de renvoi d’information : Après vérification que la requête est valide on met à jour le contenu HTML de la balise possédant l’identifiant ‘page’ avec la réponse du serveur */

requete.onreadystatechange= function() {

if(requete.readyState == 4) {

if(requete.status == 200) {

document.getElementById(‘page’).innerHTML = requete.responseText;

}

}

};

/* C’est partit ! On envoi la requête XHR au serveur */

requete.send(null);

}

 

 

ONGLET .PHP

 

Notre base de données contient une table nommée « baseonglet » qui contient deux champs :

Un champ nommé « num » qui est la clé primaire qui correspond au numéro de la page

Un champ nommé valeur qui correspond au contenue de la page qui porte le numéro « num »

Pour cette exemple notre table contenait 3 lignes :

Num Valeur
1 Ceci est la page n°1
2 Ceci est la page n°2
3 Ceci est la page n°3

 

 

<?php

//on récupère le numéro de la page à charger qui est passé en paramètre par la méthode GET

$num=$_GET[‘onglet’];

//on se connecte à la base de donnée

$SQL = mysql_connect(‘localhost’,’root’,”) or die (“erreur de connexion”);

//on selectionne notre base qui se trouve dans notre base de données contenant nos pages .

mysql_select_db(‘baseonglet’,$SQL) or die (“erreur de connexion base”);

//on retourne la valeur (qui correspond au contenue de la page numéro ‘num’) contenue dans

//la table liste page

$result=mysql_query(“SELECT valeur FROM listepage where num=”.$num);

$val=mysql_fetch_array($result);

//on affiche le contenue

echo $val[“valeur”];

mysql_close();

?>

 

Nous avons pu voir dans cet exemple qu’il est très simple de mettre en œuvre un site ou tout simplement une page internet avec plusieurs onglets permettant de rafraichir que le cadre qui contient le texte de nos divers onglets.

Bien évidement il faut pour cela connaitre les langages PHP et JavaScript.

Opensuse 10.3, problem d’ouverture de session X multiples

Vous savez, le bouton, lorsque l’on est sur l”ecran ce veille, qui permet à une autre utilisateur d’ouvrir une session … et bien sur ma Suse 10.3, il a disparu !!! etrange phénomène ! Pour corriger celà, j’ai du éditer le fichier /etc/X11/xdm/Xservers pour y ajouter les lignes suivantes:
:1 local reserve /usr/bin/X -nolisten tcp -br vt8
:2 local reserve /usr/bin/X -nolisten tcp -br vt9
J’ai ensuite créé un lien symbolique de ce fichier vers /opt/kde3/share/config/kdm/

Utilisation de SSHFS – montage au travers de ssh

SSHFS est une nouvelle façon de monter des partitions réseau. Par rapport à nfs, sshfs à l’avantage de ne nécessiter aucune configuration coté serveur et de pouvoir être utilisé en mode utilisation avec le mode fuse (file system in user mode)

Pour utiliser sshfs, il faut l’installer ainsi que fusermount ce sont en général deux paquets fournis avec les installs de Linux.
L’usage est ensuite simple : coté client, il faut taper une commande comme suit pour monter un répertoire:
sshfs user@serveur:/repertoire mountPoint Le répertoire répertoire sera alors monté dans “mountPoint”.
Le démontage se fait avec la commande : fusermount -u moutPoint

Coté débit, mes tests sur réseaux donnent 5.3MB/S alors que nfs me donne 10Mb/s environ. Les données sont toutefois cryptées, ce qui peut être considéré comme un plus.

Pour que cvs soit utilisable sur un répertoire monté avec sshfs, il faudra que les options -oreaddir_ino -o workaround=rename lors du montage.