Création d’un diaporama

(Article rédigé par un groupe d’étudiants d’IUT dans le cadre d’un projet tutoré)

Dans cet article, je vais vous montrer comment réaliser un diaporama en Ajax. Pour cela je vais utiliser trois langages: le HTML, du javascript ainsi que du php.
Le code du diaporama est scindé en 3 fichier: galerie.html, galerie.js et galerie.php.
Le premier est la page web contenant la mise en page avec les différents évènements possibles tels que le clic sur la flèche précédente ou suivante.
Voici son code avec des explications:
—————————————
<!DOCTYPE html PUBLIC “-//W3C//DTD HTML 4.01 Transitional//EN”>
<html>
<head>
<meta content=”text/html; charset=ISO-8859-1″
http-equiv=”content-type”/>
<!– On inclut notre future fichier JavaScript –>
<script type=”text/javascript” src=”/ajax/galerie.js”></script>
<title>galerie</title>
</head>

<body style=”background-color: rgb(170, 0, 0);”>
<h1 style=”text-align: center;”>GALERIE D’ IMAGES</h1>
<hr />
<!– Voilà l’endroit où le résultat sera affiché, reconnu dans notre future fichier JavaScript par son id. Pour le moment, on affiche rien. –>
<div style=”background:black; text-align: center” >
<br /><br />
<img id=”i_pred” src=”/ajax/pred.png” onClick=”javascript:galerie=pred()” style=”cursor:pointer”/>
———-
<img id=”i_suiv” src=”/ajax/suiv.png” onClick=”javascript:galerie=suiv();” style=”cursor:pointer”/>
<br />
<img id=”image” src=”/ajax/start.jpg”/>
<br /><br />
</div>
<hr />
<script type=”text/javascript” >galerie=suiv();</script>
</body>
</html>

—————————————
Ce sont les fonctions pred et suiv, appelées une fois qu’une flèche a été cliquée, qui modifieront l’image. A la fin du body, on appel la fonction suiv pour initialiser l’image.

Jettons un coup d’oeil dans le fichier javascript:
—————————————
/*
Fonction qui crée un objet XHR.
Cette fonction initialisera la valeur dans la variable globale “requete”
*/

var requete = null; /* On crée une variable qui contiendra l’objet XHR */
var galerie =-1;

function creerRequete() {
try {
requete = new XMLHttpRequest(); /* On essaye de créer un objet XmlHTTPRequest */
} catch (microsoft) {
/* Si cela ne marche pas, on a peut-être affaire à un navigateur de Microsoft. On tente alors de créer un objet ActiveX */
try {
requete = new ActiveXObject(‘Msxml2.XMLHTTP’);
} catch(autremicrosoft) {
/* Autre méthode si la première n’a pas marché */
try {
requete = new ActiveXObject(‘Microsoft.XMLHTTP’);
} catch(echec) {
/* Si aucune méthode ne fonctionne, on laisse l’objet vide*/
requete = null;
}
}
}
if(requete == null) {
alert(‘Votre navigateur ne semble pas supporter les object XMLHttpRequest.’);
}
}

function pred()
{
creerRequete();
galerie –;
var url = ‘galerie.php?image=’+galerie;
requete.open(‘GET’, url, true);
requete.onreadystatechange = function() {
if(requete.readyState == 4) {
if(requete.status == 200) {
if(requete.responseText!=””)
{
document.getElementById(‘image’).src=”/ajax/img/” + requete.responseText;
}
}
}
};
requete.send(null);
return galerie;
}

function suiv()
{
creerRequete();
galerie ++;
var url = ‘galerie.php?image=’+galerie;
requete.open(‘GET’, url, true);
requete.onreadystatechange = function() {
if(requete.readyState == 4) {
if(requete.status == 200) {
if(requete.responseText!=””)
{
document.getElementById(‘image’).src=”/ajax/img/” + requete.responseText;
}
}
}
};
requete.send(null);
return galerie;
}
—————————————
On initialise la variable galerie. Elle servira d’index.
Comme vous pouvez le voir, nos fonctions pred et suiv ont un code similaire.
Chacune effectue la création de l’objet XHR en appelant la fonction creerRequete.
Puis elles incrémentent ou décrementent la variable relative à l’identifiant de l’image.
On construit ensuite l’URL, les argument seront passés par la methode GET.
On initialise la fonction de renvoi d’information.
On teste si on est au debut du diaporama (galerie = 0) ou si on est a la fin(la requête retourne rien).
Si l’on est dans le cas optimal, on affiche la nouvelle image.
On retourne la variable galerie à la page HTML.
Pour comprendre la totalité du diaporama, il faut ensuite regarder le code qui sera executé sur le serveur : galerie.php
—————————————
<?php
/*
On vérifie que le paramètre GET est bien présent
*/
function isnotpoint($var)
{
return $var!=”.” && $var !=’..’;
}

if(isset($_GET[‘image’]))
{
$image = $_GET[‘image’];
$image = abs($image);
$tableau = scandir(‘./img/’);
$tableau = array_filter($tableau,”isnotpoint”);
$nbimage = count ($tableau);
$image = ($image%$nbimage)+2;

echo $tableau[$image];

}
else
echo “Erreur GET”;
?>

—————————————
L’algorithme de ce code est le suivant:
On vérifie que le paramètre image est présent. On prend la valeur absolue de notre paramètre, ceci est utile lorsque l’index est inférieur à zéro. Si c’est le cas on utilise la fonction scandir et on stocke le résultat dans la variable tableau. La fontion scandir est très utile dans ce cas, en effet elle va retourner chacun des fichiers du dossier mais aussi un “.” et “..”, c’est pour cela que l’on utilise la fonction array_filter qui va les enlever du tableau.La fonction count permet de retourner le nombre d’éléments du tableau. On effectue un modulo de l’index avec ce nombre, et on ajoute 2.En effet, la fonction array_filter ne créer pas un nouveau tableau, mais efface juste les éléments correspondant à la recherche, C’est pour cela qu’il faut penser que les deux premiers éléments du tableau sont vides et ajouter 2. On retourne par la suite l’élément voulu.

Voilà, ce tutorial est terminé, vous pouvez à présent céeer un diaporamma utilisant Ajax pour votre site web.

Autocompletion

(Article rédigé par un groupe d’étudiants d’IUT dans le cadre d’un projet tutoré)

Tout d’abord nous allons expliquer ce qu’est une autocompletion :

Une autocompletion et une action qui s’effectue sur un champ de texte.

Par exemple : Imaginez une secrétaire qui recherche le nom d’un employé, elle doit taper son nom dans un champs. Donc une solution pour rendre plus rapide et plus agréable la saisie a été de proposer une liste de nom au fur et a mesure que le nom est tapé.

Cette solution offre un autre avantage, si un utilisateur ne connaît que le début du mot, il pourra aisément retrouver la suite.

L’autocompletion propose donc une liste selon différent critère de sélection définie a l’avance tel que les mots les plus populaire, ou simplement par ordre alphabétique (le plus communément utilisé).

 

Avant de commencer, il est conseillé aux personnes qui connaissent peu l’Ajax de consulter l’article sur l’implémentation.

 

Dans un premier temps nous allons aborder une méthode qui propose une liste de mots en dehors du champ de saisie.

Ici, le critère de sélection de la liste est l’ordre alphabétique.

La liste des mots proposés est contenue dans un tableau, mais on peut très bien imaginer de se servir dans une base de données.

 

Le fichier JavaScript est le même que celui pour l’implémentation, le fichier html dérive lui aussi de l’exemple précédent.

 

Voici le formulaire html :

<?xml version=”1.0″ encoding=”iso-8859-1″?>

<!DOCTYPE html PUBLIC”-//W3C//DTD XHTML 1.0 Transitional//EN”

“http://www.w3.org/TR/xhtml1-transitional.dtd”>

 

<html xmlns=”http://www.w3.org/1999/xhtml” xml:lang=”FR” lang=”FR”>

<head>

<script type=”text/javascript” src=”/ajax/autocomplete.js”></script>

</head>

<body>

<form name=”saisie” method=”GET” action=”javascript:verifier()”>

<!–c’est ici que l’ajout de caractère appelle la fonction d’autocompletion, l’argument “onKeyUp” est l’évènement de relâcher une touche. –>

Mot : <input type=”text” onKeyUp=”javascript:verifier()” id=”mot” size=”20″ /><br />

<input type=”submit” value=”Envoyer” />

</form>

<p id=”resultat”></p>

</body>

</html>

 

Le fichier JavaScript :

 

/*

Fonction qui crée un objet XHR.

Cette fonction initialisera la valeur dans la variable globale “requête”

*/

 

var requete = null; /* On crée une variable qui contiendra l’objet XHR */

 

function creerRequete() {

try {

requete = new XMLHttpRequest(); /* On essaye de créer un objet XmlHTTPRequest */

} catch (microsoft) {

/* Si cela ne marche pas, on a peut-être affaire à un navigateur de Microsoft. On tente alors de créer un objet ActiveX */

try {

requete = new ActiveXObject(‘Msxml2.XMLHTTP’);

} catch(autremicrosoft) {

/* Autre méthode si la première n’a pas marché */

try {

requete = new ActiveXObject(‘Microsoft.XMLHTTP’);

} catch(echec) {

/* Si aucune méthode ne fonctionne, on laisse l’objet vide*/

requete = null;

}

}

}

if(requete == null) {

alert(‘Votre navigateur ne semble pas supporter les object XMLHttpRequest.’);

}

}

 

function verifier() {

/* On crée notre super objet XHR global */

creerRequete();

 

/* On construit à l’avance notre URL en passant les paramètre en GET. Le paramètre de notre formulaire est seulement le contenu du champ possédant l’identifiant ‘mot’. */

var url = ‘autocompletion.php?mot=’+document.getElementById(‘mot’).value;

 

 

/* On édite les propriété de l’objet : type de paramètre, url (avec paramètres) et une option autorisant une réponse du serveur */

requete.open(‘GET’, url, true);

 

/* On initialise la fonction de renvoi d’information : Après vérification que la requête est valide on met à jour le contenu HTML de la balise possédant l’identifiant ‘résultat’ avec la réponse du serveur */

requete.onreadystatechange = function() {

if(requete.readyState == 4) {

if(requete.status == 200) {

document.getElementById(‘resultat’).innerHTML = requete.responseText;

}

}

};

 

/* C’est partit ! On envoi la requête XHR au serveur */

requete.send(null);

}

 

Maintenant, attaquons nous au fichier php :

NB: Tous les caractères sont au format UTF8 pour ne pas avoir de problèmes pour l’affichage des caractères spéciaux.

 

<?php

 

header(‘Content-Type: text/xml;charset=utf-8’);

echo(utf8_encode(“<?xml version=’1.0′ encoding=’UTF-8′ ?><options>”));

if (isset($_GET[‘mot’])) {

$debut = utf8_decode($_GET[‘mot’]);

} else {

$debut = “”;

}

/*La variable $debut contient les caractères qui ont été saisie dans le champs de texte*/

$debut = strtolower($debut);

/* la variable $liste contient tous les mots qui vont être proposé pour la saisie

Ici la liste a été coupé pour éviter de polluer ce tutorial*/

$liste = array(“abeille”,”abricot”,”acheter”,”acheteur”,”adjectif”,”adroit”,”adroitement”);

 

 

/*La fonction qui suit va sélectionner dans la variable $liste tous les mots qui commencent par les caractères contenues dans $debut*/

 

function expreg($debut,$liste) {

/*On définie le nombre de mot maximum a proposer*/

$MAX_RETURN = 10;

$i = 0;

foreach ($liste as $element) {

if ($i<$MAX_RETURN && substr($element, 0, strlen($debut))==$debut) {

echo(utf8_encode(“<option>”.$element.”<br/></option>”));

$i++;

}

}

}

 

/*on appelle la fonction*/

expreg($debut,$liste);

 

echo(“</options>”);

?>

 

Maintenant voyons un exemple qui ne va plus proposer une liste, mais va compléter le mot tapé par la plus probable proposition correspondante :

 

Il suffit de remplacer :

function verifier() {

/* On crée notre super objet XHR global */

creerRequete();

 

/* On construit à l’avance notre URL en passant les paramètre en GET. Le paramètre de notre formulaire est seulement le contenu du champ possédant l’identifiant ‘mot’. */

var url = ‘autocompletion.php?mot=’+document.getElementById(‘mot’).value;

 

 

/* On édite les propriété de l’objet : type de paramètre, url (avec paramètres) et une option autorisant une réponse du serveur */

requete.open(‘GET’, url, true);

 

/* On initialise la fonction de renvoi d’information : Après vérification que la requête est valide on met à jour le contenu HTML de la balise possédant l’identifiant ‘résultat’ avec la réponse du serveur */

requete.onreadystatechange = function() {

if(requete.readyState == 4) {

if(requete.status == 200) {

document.getElementById(‘resultat’).innerHTML = requete.responseText;

}

}

};

 

/* C’est partit ! On envoi la requête XHR au serveur */

requete.send(null);

}

 

Par :

 

var nouveaumot;

var ancienmot;

var tailleNvMot;

var tailleAncMot=0;

function verifier() {

 

nouveaumot=document.getElementById(‘mot’).value;

tailleNvMot=document.getElementById(‘mot’).value.length;

if((ancienmot!=nouveaumot) && (tailleNvMot>tailleAncMot))//on test pour savoir les changements du champs

{

ancienmot=nouveaumot;

tailleAncMot=tailleNvMot;

/* On crée notre super objet XHR global */

creerRequete();

 

/* On construit à l’avance notre URL en passant les parmètre en GET. Le paramètre de notre formulaire est seulement le contenu du champ possédant l’identifiant ‘pass’. */

var url = ‘autocompletion.php?mot=’+document.getElementById(‘mot’).value;

/* On édite les propriété de l’objet : type de paramètre, url (avec paramètres) et une option autorisant une réponse du serveur */

requete.open(‘GET’, url, true);

 

/* On initialise la fonction de renvoi d’information : Après vérification que la requête est valide on met à jour le contenu HTML de la balise possédant l’identifiant ‘resultat’ avec la réponse du serveur */

requete.onreadystatechange = function() {

if(requete.readyState == 4) {

if(requete.status == 200) {

var proposition=requete.responseText;

if (proposition!=”” && nouveaumot!=” “){

//Le code qui suit va servir pour mettre a la suite des lettres tapé par l’utilisateur, la fin du mot proposé

var taillemot=document.getElementById(‘mot’).value.length;

document.getElementById(‘mot’).value = proposition;

//Le code qui suit va servir pour sélectionner la partie du mot qui nous intéresse (afin que si le mot ne soit pas le bon, la saisie remplace la proposition au fur et a mesure sans gêner la saisie)

var taillemot2=(document.getElementById(‘mot’).value.length);

selectPart(document.getElementById(‘mot’),taillemot,taillemot2);

}

 

}

}

};

 

/* C’est partit ! On envoi la requête XHR au serveur */

requete.send(null);

}

else{

tailleAncMot=document.getElementById(‘mot’).value.length;

}

}

function selectPart(o,taillemot,taillemot2)

{

// Moz Support

if (o.selectionStart && o.selectionEnd)

{

o.selectionStart = taillemot; // début de la sélection

o.selectionEnd = taillemot2; // fin de la sélection a partir du début

return;

}

// IE Support

var oRange = o.createTextRange();

oRange.moveStart(“character”,taillemot); // début de la sélection

oRange.moveEnd(“character”,0); // fin de la sélection partir de la fin

oRange.select();

}

 

Maintenant l’autocomplétion se fera directement dans le champ texte !

Une autre solution serait de placer les mots dans une base de donnée, et utiliser un script PHP pour aller fouiller dans celle-ci.

Formulaire dynamique

(Article rédigé par un groupe d’étudiants DUT dans le cadre d’un projet tutoré)

En remplissant des formulaires sur le web, vous avez dû remarquer que certains vérifiaient le contenu de vos champs pendant que vous les remplissiez.

Ce petit tour de magie est principalement issu du JavaScript, mais y inclure de l’Ajax peut le rendre bien plus intéressant.

Pour ce tutorial nous allons construire un formulaire qui détecte si le pseudonyme demandé n’est pas déjà pris, et comme nous aimons la difficulté, nous allons le faire avec un fichier XML 🙂

Contenu de “login.xml” :

 

<?xml version=”1.0″ ?>

<root>

<login>nico</login>

<login>pierre</login>

<login>sylvain</login>

<login>damien</login>

</root>

 

Nous avons donc quatre inscrits. Chacun des pseudonymes se trouve dans une balise “login”. Maintenant, rédigeons notre mini-formulaire dans une page html, “inscription.html” :

 

<html>

<head>

<!– On inclut notre future fichier JavaScript –>

<script type=”text/JavaScript” src=”/ajax/inscription.js”></script>

</head>

<body>

<!–

Notre formulaire ne lance pas de script, il s’agit juste d’une démonstration de la gestion dynamique du formulaire.

–>

<form action=”JavaScript:alert(‘Pas de script d\’inscription, la démo concerne juste la gestion dynamique du formulaire !’)”>

<!—-

Notre balise de login.

–>

Login : <input type=”text” onKeyUp=”JavaScript:verifierlogin(this)” /> <span id=”logintext”></span><br />

<!—-

Notre submit qui ne sert strictement à rien dans l’exemple.

–>

<input type=”submit” value=”Inscription” />

</form>

</body>

</html>

 

Explications :

Vous avez certainement remarqué un étrange attribut possédé par le champ : “onKeyUp”. Il s’agit d’un évènement qui se déclenche dès qu’une touche est relâchée, si le curseur est dans le champ. On associe à cet évènement le code la fonction “verifierlogin(this)” qui sera la présente dans notre super fichier JavaScript inclus en en-tête. Elle vérifiera si le login du champs actuel (nous passons “this” en argument) est bon, et enverra le résultat dans la balise <span id=”logintext”></span> présente juste après le champ.

Passons d’ailleurs tout de suite à la rédaction de ce script, “inscription.js” :

 

/*

Fonction qui crée un objet XHR, rébarbative mais indispensable…

Cette fonction initialisera la valeur dans la variable globale “requete”

*/

var requete = null; /* On crée une variable qui contiendra l’objet XHR */

function creerRequete() {

try {

requete = new XMLHttpRequest(); /* On essaye de créer un objet XmlHTTPRequest */

} catch (microsoft) {

/* Si cela ne marche pas, on a peut-être affaire à un navigateur de Microsoft. On tente alors de créer un objet ActiveX */

try {

requete = new ActiveXObject(‘Msxml2.XMLHTTP’);

} catch(autremicrosoft) {

/* Autre méthode si la première n’a pas marché */

try {

requete = new ActiveXObject(‘Microsoft.XMLHTTP’);

} catch(echec) {

/* Si aucune méthode ne fonctionne, on laisse l’objet vide*/

requete = null;

}

}

}

if(requete == null) {

alert(‘Votre navigateur ne semble pas supporter les objets XMLHttpRequest.’);

}

}

/*************************************************/

/*

Notre fabuleuse fonction de vérification du login

*/

function verifierlogin(src) {

/* On crée notre super objet XHR global */

creerRequete();

/* On édite les propriété de l’objet : type de paramètre, url et une option autorisant une réponse du serveur */

requete.open(‘GET’, ‘login.xml’, true);

/* On initialise la fonction de renvoi d’information */

requete.onreadystatechange = function() {

if(requete.readyState == 4) {

if(requete.status == 200) {

/* On récupère le contenu de notre fichier */

var xml = requete.responseXML;

/* On regarde chaque entrée du fichier XML jusqu’à soit trouver un login identique, soit arriver à la fin */

var temp=”;

for( i=0 ; temp.toUpperCase()!=src.value.toUpperCase() && xml.getElementsByTagName(‘login’).item(i)!=null ; i++ )

temp = xml.getElementsByTagName(‘login’).item(i).firstChild.data;

/* Si la boucle précédente a trouvée un pseudo identique, on écrit dans “logintext” que ce le pseudo n’est pas disponible, sinon l’inverse ! */

if( temp.toUpperCase() == src.value.toUpperCase() )

document.getElementById(‘logintext’).innerHTML = src.value+’ <font color=\’#ff0000\’>est déjà pris</font>’;

else

document.getElementById(‘logintext’).innerHTML = src.value+’ <font color=\’#00cc66\’>est disponible</font>’;

/* Si le champs est vide, effacer “logintext” */

if(src.value==”)

document.getElementById(‘logintext’).innerHTML = ”;

}

}

}

/* C’est partit ! On envoi la requête XHR au serveur */

requete.send(null);

}

Note : La méthode “toUpperCase()” permet de mettre en majuscule la chaîne de caractère sur laquelle elle est appliquée. Grâce à cette méthode notre comparaison est insensible à la casse (tout est forcé en majuscule).

La seule véritable difficulté du script est de comprendre comment explorer le fichier XML avec les fonctions JavaScript qui vont bien. Petit mémo :

requete.responseXML : Récupére le contenu du fichier XML en cours.

xml.getElementsByTagName(‘monSuperTag’) : Renvoi la liste des balises <monSuperTag>contenu</monSuperTag>.

xml.getElementsByTagName(‘monSuperTag’).item(X) : Renvoi la Xième balise ‘monSuperTag’.

xml.getElementsByTagName(‘login’).item(i).firstChild.data : Renvoi le contenu de la Xième balise ‘monSuperTag’.

Et voilà ! Le script fouille dans le fichier XML et compare avec la valeur du champ. Une variante pour faire moins d’appel au serveur consiste à mettre “onChange” au lieu de “onKeyUp” dans le fichier HTML : La vérification ne se fera pas à chaque appuie de touche mais à chaque fois que le curseur quittera le champ après l’avoir modifié. Utile si vous avez beaucoup d’inscrits !

Premier exemple d’implémentation Ajax

(Article rédigé par un groupe d’étudiants d’IUT dans le cadre d’un projet tutoré)

Ajax est un des composants importants du Web 2.0 car il apporte souplesse et dynamismes aux sites web. Il se situe au croisement de trois langages que vous devez maîtriser avant d’aller plus loin dans ce tutorial : HTML, JavaScript, PHP (ou tout autre langage interprété par le serveur).

Le but de la petite application Ajax que nous allons implémenté est, à partir d’un formulaire, de vérifier qu’un mot de passe est juste et afficher le résultat de la vérification sans rafraîchir la totalité de la page.

Pour bien mettre en évidence les différentes parties de l’implémentation, nous aurons trois fichiers :

– implement.html : Contiendra un formulaire html très simple

– implement.js : Contiendra nos fonctions JavaScript et l’utilisation du fameux XMLHttpRequest indispensable à la technologie Ajax

– implement.php : Contiendra le petit script de vérification

 

HTML

Construisons d’abord le formulaire dans implement.html, lisez attentivement les commentaires :

 <html>
 <head>
 <!-- On inclut notre future fichier JavaScript -->
 <script type="text/javascript" src="/ajax/implement.js"></script>
 </head>
 <body>
 <!--
 On déclare le formulaire en GET et en guise de page de soumission on appelle une fonction de notre futur fichier JavaScript.
 Le champs du password doit avoir une id. On récupèrera la valeur du champs grâce à cette id dans notre future fichier JavaScript
 -->
<form method="GET" action="javascript:verifier()">
 Password : <input type="text" id="pass" /><br />
 <input type="submit" value="Vérifier" />
</form>
<!-- Voilà l'endroit où le résultat sera affiché, reconnu dans notre future fichier JavaScript par son id. Pour le moment, on affiche rien. -->
<p id="resultat"></p>
</body>
</html>

 

JavaScript

Maintenant, attaquons-nous au fameux fichier JavaScript implement.js ! Comme précédemment, les commentaires expliquent le détail du fonctionnement :

/*

Fonction qui crée un objet XHR. Cette fonction initialisera la valeur dans la variable globale “requete”

*/

 

var requete = null; /* On crée une variable qui contiendra l’objet XHR */

function creerRequete() {

try {

requete = new XMLHttpRequest(); /* On essaye de créer un objet XmlHTTPRequest */

} catch (microsoft) {

/* Si cela ne marche pas, on a peut-être affaire à un navigateur de Microsoft. On tente alors de créer un objet ActiveX */

try {

requete = new ActiveXObject(‘Msxml2.XMLHTTP’);

} catch(autremicrosoft) {

/* Autre méthode si la première n’a pas marché */

try {

requete = new ActiveXObject(‘Microsoft.XMLHTTP’);

} catch(echec) {

/* Si aucune méthode ne fonctionne, on laisse l’objet vide*/

requete = null;

}

}

}

if(requete == null) {

alert(‘Votre navigateur ne semble pas supporter les object XMLHttpRequest.’);

}

}

 

function verifier() {

/* On crée notre super objet XHR global */

creerRequete();

 

/* On construit à l’avance notre URL en passant les parmètre en GET. Le paramètre de notre formulaire est seulement le contenu du champ possédant l’identifiant ‘pass’. */

var url = ‘implement.php?pass=’+document.getElementById(‘pass’).value;

 

/* On édite les propriété de l’objet : type de paramètre, url (avec paramètres) et une option autorisant une réponse du serveur */

requete.open(‘GET’, url, true);

 

/* On initialise la fonction de renvoi d’information : Après vérification que la requête est valide on met à jour le contenu HTML de la balise possédant l’identifiant ‘resultat’ avec la réponse du serveur */

requete.onreadystatechange = function() {

if(requete.readyState == 4) {

if(requete.status == 200) {

document.getElementById(‘resultat’).innerHTML = requete.responseText;

}

}

};

 

/* C’est partit ! On envoi la requête XHR au serveur */

requete.send(null);

}

PHP

Bon, la requête s’envoie correctement, reste à faire le coté serveur avec implement.php.

 

<?php

/*

On vérifie que le paramètre GET est bien présent. Si c’est le cas, on le compare avec le bon mot de passe et affiche le message qui va bien.

*/

if(isset($_GET[‘pass’]))

if($_GET[‘pass’]==”monpass”)

echo “Bon password !”;

else

echo “Mauvais password…”;

else

echo “Erreur GET”;

?>

Comme dit au début, on utilise ici une page PHP, mais on pourrait très bien imaginer un script shell, un servlet Java, une page ASP,… Exemple en Java de code équivalent dans un fichier implement.jsp :

<%

/*

On vérifie que le paramètre GET est bien présent.

Si c’est le cas, on le compare avec le bon password et affiche le message qui va bien.

*/

String pass = request.getParameter(“pass”);

if(pass!=null)

if(pass.equals(“monpass”))

out.println(“Bon password !”);

else

out.println(“Mauvais password…”);

else

out.println(“Erreur GET”);

%>

Les scripts ci-dessus sont simplistes, de bien plus puissantes utilisations sont envisageables, comme la recherche à la volée dans une base de donnée, des calculs mathématiques complexes, des retours d’infos sur le serveur,…

XML

Mais, comme vous êtes perspicaces et avides de connaissances, vous remarquerez que dans la dénomination Ajax, le X signifie XML. Or, point de XML dans nos remarquables explications pour le moment ! Il s’agit d’une autre utilisation de Ajax, que nous allons vous expliquer :

D’abord créez un fichier implement.xml et écrivez-y cet arbre très simple :

<?xml version=”1.0″ ?>

<root>

<pass>monpass</pass>

</root>

Ensuite reprenez le fichier JavaScript et ajoutez cette fonction :

function verifierxml() {

/* On crée notre super objet XHR global */

creerRequete();

/* On indique notre fichier XML*/

var url = ‘implement.xml’;

/* On édite les propriété de l’objet : type de paramètre, url (avec paramètres) et une option autorisant une réponse du serveur */

requete.open(‘GET’, url, true);

/* On initialise la fonction de renvoi d’information : Après vérification que la requête est valide on met à jour le contenu HTML de la balise possédant l’identifiant ‘resultat’ après exploration du XML */

requete.onreadystatechange = function() {

if(requete.readyState == 4) {

if(requete.status == 200) {

/* On récupère le contenu de notre fichier */

var xml = requete.responseXML;

/* On récupère notre password au sein du fichier */

var pass = xml.getElementsByTagName(‘pass’).item(0).firstChild.data;

/* On compare et affiche suivant le résultat */

if(pass == document.getElementById(‘pass’).value )

document.getElementById(‘resultat’).innerHTML = ‘[XML] Bon pass !’;

else

document.getElementById(‘resultat’).innerHTML = ‘[XML] Mauvais pass…’;

}

}

};

/* C’est partit ! On envoi la requête XHR au serveur */

requete.send(null);

}

 

Et voilà, il ne reste plus qu’à appeler verifierxml() dans le code HTML à la place de verifier() et le tour est joué.

Conclusion

Fondamentalement, l’Ajax repose donc sur l’objet HTMLHttpRequest permettant d’effectuer des requêtes asynchrones au serveur (c’est à dire sans recharger la page en entier). Il peut s’agir d’un fichier XML que l’on peut explorer par JavaScript une fois récupéré, ou d’un script exécuté par le serveur (PHP, ASP,…). A partir de ces deux fonctionnalités, une utilisation astucieuse de JavaScript et de HTML peut aboutir à d’impressionnants effets dignes de Flash (fondu, déplacement d’image, interactions avec la souris, affichages en temps réel,…) !

Bienvenue dans le Web 2.0 🙂

Le fonctionnement d’Ajax

(article écrit par un groupe d’étudiants d’IUT dans le cadre d’un projet)

Impossible de vous expliquer comment fonctionne Ajax si vous ne connaissez pas l’organisation du World Wide Web aussi appelé Web.
Les notions de client et de serveur sont élémentaires pour comprendre l’Internet.
Derrière l’entité serveur se cache tout simplement un disque dur contenant des données. Celles-ci peuvent être sous la forme de fichiers, d’applications ou de bases de données. Bien sûr, un serveur n’est pas forcément spécialisé et peut très bien regrouper toutes ces données. Un Client est en réalité un ordinateur relié au réseau comme celui que vous êtes en train d’utiliser. Les échanges entre ces deux entités diffèrent selon la technologie utilisée.

Tout d’abord, je vais essayer d’expliquer aux plus novices d’entre vous comment marche l’affichage d’une page web utilisant uniquement le HTML.
Si vous voulez davantage connaître l’HTML, je vous conseille de visiter cette page : http://www.ext.upmc.fr/urfist/html/html.htm.
Lorsque vous surfez sur la toile et que vous cliquez sur un lien, ou tapez une adresse, votre navigateur web (Internet Explorer ou Mozilla) envoie une requête au serveur. Le serveur étant toujours prêt à répondre aux demandes du client, il retourne au navigateur web du client une page HTML stockée sur son disque dur. C’est ensuite votre navigateur qui va interpréter et afficher la page.
Voici un petit schéma explicitant les quelques lignes ci-dessus:

Mais le web n’est pas composée que de pages statiques. En effet, avec le langage PHP les pages ont la possibilité d’être animées.Par exemple, avec un petit script PHP la page peut afficher la date et l’heure à laquelle elle a été affichée. Ici, les échanges entre serveur et client sont différents. Le processus est similaire, sauf que le serveur effectuera un traitement avant de renvoyer la page.

En effet, le serveur va devoir exécuter le script. Celui retournant la date et l’heure n’est pas gourmand en ressources système, mais certains peuvent pénaliser le serveur.Voici,un second schéma:

Un troisième langage permet de faire des pages dynamiques, il s’agit du JavaScript. Le traitement est différent car c’est du coté client que le script s’exécute. Cela permet de ne pas surcharger le serveur, et facilite ainsi sa tâche. Les traitements effectués coté client sont d’un ordre généralement différent de ceux effectués coté serveur. Le javascript est principalement utilisé pour des opération de rendu de l’affichage alors que les traitements serveur sont plus focalisés sur la gestion des données.

Cet article ne devait pas être sur le fonctionnement d’Ajax ? Si, bien sûr, mais pour comprendre son fonctionnement, il faut savoir comment les langages les plus courants opèrent puisque Ajax est en réalité un ensemble de technologie(s) et de langages.
Ajax est un mélange des deux précédents schémas : Lorsque le client télécharge une page, celle-ci intègre des composant Javascript (donc exécutés coté client) qui seront ensuite capables de requêter de nouvelles informations au serveur et se chargeront de les afficher dans le navigateur.
Les javascripts établissent ainsi une communication entre le client et le serveur par la création d’un contrôle ActiveX sous Internet Explorer et d’un XMLHttpRequest sur la plupart des autres navigateurs.
Le serveur communiquera avec le client en lui transmettant des texte souvent formatés à l’aide de XML. Le navigateur se chargera de l’interprétation et de l’affichage de ces données.

Avec l’Ajax, les échanges entre serveur et client ne nécessitent plus de raffraichissement complet de l’écran mais seulement de certaines zone de celui-ci. L’utilisateur aura donc un impression d’interactivité beaucoup plus grande. Les mises à jour de la page ont lieu régulièrement, à chaque fois que l’on est dans la situation où la requête est envoyée. Ce système est aussi plus économique pour le réseau et le serveur qui ne génèrent plus que des informations partielles (au risque de pooling près).

Mesures de performance d’un disque dur

Question du jour alors que j’envisage de remplacer ma machine par une version VIA EPIA equipé d’une compact flash en guise de disque dur… A quelle vitesse tourne mon disque actuel !

Voici donc quelques commandes utiles pour répondre à cette question:

  • hdparm -t /dev/hda donne la vitesse d’accès en lecture sur le disque, toutefois, cette commande est un maximum car les conditions choisies par hdparm sont particulières. Dans mon cas, je trouve 30MB/s
  • L’outil seek dont le source est ici permet lui de donner le plus mauvais cas, on multipliera le nombre de seek par 4 pour obtenir le nombre de KB/s. Dans mon cas, je trouve 220KB/s avec un temps d’accès de 32ms.
  • Avec hdparm -T /dev/hda il est possible de voir ce que donne une lecture dans le cache. pour ma part j’obtiens 206M/s

Les paramètres de hdparm sont un point primordial dans l’optimisation des accès disques. hdparm /dev/hdales résume:

  • multcount : indique combien de secteur sont rappatriés à chaque E/S
  • I/O support : indique si le mode d’accès est 16, 32 ou 32-async
  • unmaskint : indique si le noyau peut traiter d’autres interruption durant un accès disque
  • using_dma : indique si l’usage du DMA est activé.. primodial !

Un autre outil pour les tests d’I/O est bonnie, dans sa version plus récente Bonnie++. Cet outil permet de tester les I/O d’une machine unix en testant les accès par bloc, caractère par caractère, testant les relecture et le temps d’accès. Il semble que ce soit l’outil le plus complet. Avantage de cet outil : il n’utilise par directement le périphérique mais le répertoire courant, du coup il est possible de tester un montagne NFS par exemple.
Mes résultats sont les suivants:

  • Montage NFS (100Mb)
    • Mode char WR/RD: 9MBs / 7MBs
    • Mode block WR/RD: 9MBs / 7.5Mbs
    • Rewrite : 4MB/s
    • Seek : 130/s
    • File seq created /s : 80
    • File seq Read /s : 3791
    • File seq Deleted / s : 164
    • File rand created /s : 91
    • File rand Read /s : 5395
    • File rans Deleted / s : 132
  • Disque local:
    • Mode char WR/RD: 21MBs / 25MBs
    • Mode block WR/RD: 35MBs / 26Mbs
    • Rewrite : 13MB/s
    • Seek : 123/s
    • File seq created /s : 22144
    • File seq Deleted / s : 25867
    • File rand created /s : 22825
    • File rans Deleted / s : 22231

Accès à CVS dans un tunnel Ssh

Voici, le probleme du jour : accéder à un serveur CVS situé sur une machine n’offrant pas directement un accès ssh depuis internet. La solution fonctionne pour n’importe quel protocole.

  • Se connecter sur le serveur accessible en ssh depuis l’Internet
  • Lancez sur celui-ci un tunnel entre lui-même et le serveur offrant le service csv : ssh -a -e none -N -L 2401:localhost:2401 user@cvsServer
  • Lancez ensuite sur la machine sur laquelle vous souhaitez utiliser le service csv un autre tunnel: ssh -a -e none -N -L 2401:localhost:2401 user@sshServer
  • Maintenant il ne reste plus qu’à se logguer sur le service cvs : cvs -d:pserver:login@localhost:/home/cvs login

Explication d’une ligne Shell desctructrice

Une curiosité très efficace dans le plantage de systèmes… J’ai découvert ça il y a quelques jours, venant d’un de mes étudiants (ça fait plaisir ;o) ). il s’agit d’une petite ligne de commande shell particulièrement meurtrière et donc à ne surtout pas utiliser car elle plante immédiatement les systèmes sans ulimit… Et quand je dis immédiatement, c’est immédiatement : pas même le temps de bouger la souris pour fermer le terminal ou de taper un CTRL+C ni même le temps pour le système de tracer l’emploi de la commande.
Cette ligne a en plus la bonne idée d’être particulièrement esthétique…. bref j’adore ! Voici donc la bête :
:(){ : |:& };:
Joli non !!
Voyons un peu plus ce qu’il se passe derrière ces caractères: :() { … } correspond à la création d’une fonction. : | : & correspond à l’appel récursif de la-dite fonction en lançant 2 processus supplémentaires en tâche de fond. Enfin les derniers ; : sont l’appel de la fonction précédemment définie.
Que se passe-t-il alors ? des milliers de processus shell sont lancés sur le système jusqu’à ce que mort s’en suive…
La parade ? Il suffit de limiter le nombre de processus max d’un utilisateur une centaine pour éviter que le scheduler soit saturé et que le système plante.

Cette commande ne doit surtout jamais être utilisée sur une machine autre que votre machine personnelle … et c’est à vos risques et périls !